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Mis à jour: 26 juin 2025
En 1820, L. Rincovedro (est-ce un pseudonyme?), dans un article sur les romances espagnoles, où il blâme l'hispanisme fantaisiste des frères Hugo, espère que M. Ch. Nodier va donner bientôt sa traduction de poésies nationales des Morlaques, «qui chantent encore le succès de Scander-Beg et les malheurs de Spalatin-Beg ». Quelques mois plus tard, les journaux annoncent comme un événement littéraire la prochaine publication d'un poème traduit de l'esclavon par M. Nodier. Les Annales de la littérature et des arts, qui se font l'écho de ce bruit, demandent
C'est ainsi qu'il publia, en 1821, un livre assez étrange: prétendue traduction de «l'esclavon», intitulé Smarra, ou les démons de la nuit, songes romantiques .
Enfin, en 1821, Charles Nodier essaya de faire passer son poème de Smarra comme une traduction de «l'esclavon». Nous avons vu qu'il n'y réussit pas; mais nous verrons qu'il fut, par cet ouvrage, l'un de ceux qui donnèrent
Dans les Annales, un rédacteur qui signait «M.D.V.» ou plutôt une rédactrice, car ces initiales cachaient Marceline Desbordes-Valmore eut la hardiesse de dire avec bienveillance «que, peut-être, Smarra n'était point une traduction de l'esclavon, mais qu'il n'en était pas de même des poésies morlaques traduites en français par M. Nodier».
Il est probable, que le nom de More-Ulah a dénoté, dès le commencement, les puissans ou les conquérans venus de la mer, qui s'appelle More dans tous les dialectes de l'Esclavon.
Elle se compose de trois courts poèmes, également traduits de l'esclavon, affirmait Nodier avec plus de raison. Le premier est un «poème de tradition morlaque», le Bey Spalatin, pièce inédite, disait le traducteur, «une de ces romances nationales qui ne sont conservées que par la mémoire des hommes».
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