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Mis à jour: 14 juin 2025


«S'il arrivait que le jeu de l'arbalète fût dangereux et qu'on le découvrît, adoptons un moyen de correspondre plus facilement. Laissez pendre du haut de votre balcon,

La biche, blonde comme les feuilles mortes, broutait le gazon; et le faon tacheté, sans l'interrompre dans sa marche, lui tétait la mamelle. L'arbalète encore une fois ronfla. Le faon, tout de suite, fut tué. Alors sa mère, en regardant le ciel, brama d'une voix profonde, déchirante, humaine. Julien exaspéré, d'un coup en plein poitrail, l'étendit par terre. Le grand cerf l'avait vu, fit un bond.

Ah bien, gémit tout bas Maclou Longbec, on ouvrira l'oeil! D'abord moi j'en ai assez! Je quitte l'arbalète, je ne suis plus homme d'épée, je redeviens homme d'aiguille et avec ma part de prise, je m'établis

La rue de la Roquette renfermait: l'hôtel des chevaliers de l'arbalète et de l'arquebuse, compagnie royale dont les priviléges furent donnés par Louis VI et confirmés par tous les rois jusqu'

Elle y répondit par les lignes suivantes: «Je vous aime comme vous m'aimez. Je suis en effet une victime de la méchanceté des hommes. Mais celui qui me retient ici est un protecteur, et non un tyran. Il vient me visiter secrètement une fois par jour. Je vous expliquerai tout cela plus tard. J'aime mieux le billet remonté au bout d'un fil que l'arbalète.

Heureusement Reine avait de bons yeux. Elle abattit vivement, de sa blanche main, l'arbalète de Julien Le Priol qui cherchait déj

Rue de l'Arbalète. On y trouvait le couvent des Filles de la Providence, fondé en 1634 par madame Pollalion, «l'associée de saint Vincent de Paul pour toutes ses oeuvres de charitéOn y élevait des jeunes filles pauvres jusqu'

Elle se souvenait d'avoir autrefois connu, rue de l'Arbalète, un petit juif besogneux qui vivait de vingt métiers plus ou moins suspects. Le vieux drôle faisait ostensiblement l'immonde commerce des reconnaissances du mont-de-piété et elle s'était laissée rançonner par lui un assez bon nombre de fois. C'était bien l'homme qu'il lui fallait, celui-l

Derrière ce groupe c'étaient les Le Priol, Simon, Fanchon, Simonnette et Julien, qui avait l'arbalète sur l'épaule. Suivaient les Gothon, dont trois avaient eu une belle conduite, tandis qu'il nous faudra pleurer éternellement sur la faiblesse de la quatrième. Les Gothon étaient accompagnées de Scholastique, des Suzon et des Catiche.

Et dès le lendemain, vers midi, l'arbalète, moyen extraordinaire et expéditif, moyen qui était

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