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Mis à jour: 12 juin 2025


Le cri poussé par Dérigny avait attiré aux portes presque tous les voisins de l'Ange-Gardien, et un rassemblement considérable ne tarda pas

Le général Dourakine s'était mis en route pour la Russie, accompagné, comme on l'a vu dans l'Auberge de l'Ange-gardien, par Dérigny, sa femme et ses enfants, Jacques et Paul. Après les premiers instants de chagrin causé par la séparation d'avec Elfy et Moutier, les visages s'étaient déridés, la gaieté était revenue, et Mme Dérigny, que le général avait placée dans sa berline avec les enfants, se laissait aller

La noce se dirigea vers l'Ange-Gardien qu'on trouva décoré comme la veille. On passa dans le jardin. Sur le pré étaient dressées deux grandes tentes, l'une pour danser, l'autre pour manger; un buffet entourait de trois côtés cette dernière et devait, jusqu'au lendemain, se trouver couvert de viandes froides, de poissons, de pâtisseries, de crèmes, de gelées; la tente de bal était ouverte d'un côté, et garnie des trois autres de candélabres, de fleurs et de banquettes de velours rouge

Après cette décision, les Anglais levèrent leur camp du sault Montmorency ou de l'Ange-Gardien sans être inquiétés dans leur retraite, chose que l'on reprocha au général Montcalm comme une faute, et les troupes et l'artillerie furent transportées

Le soldat se rassit et avala lentement avec délices le café et l'eau-de-vie. LE SOLDAT. Bien des remerciements, Mam'selle; je n'oublierai pas l'Ange-Gardien ni ses aimables hôtesses. «De quel côté allez-vous, mon braveAux eaux de Bagnoles, répondit le soldat surpris. LE G

Le général sortit le premier; il était en petite tenue d'uniforme avec une seule plaque sur la poitrine. Il se dirigea vers l'auberge Bournier, suivi de tous les habitants de l'Ange-Gardien. Le général donnait le bras

Un matin, Jacques et Paul balayaient le devant de la porte de l'Ange-Gardien; Mme Blidot et Elfy préparaient le dîner, lorsqu'un homme, qui s'était approché sans bruit, arrêta doucement le balai de Paul. Celui-ci se retourna et se mit

Conclusion, mais sans fin... Les dix ou douze jours qui séparèrent la demande en mariage d'avec la cérémonie s'écoulèrent vite et gaiement; les futurs quittaient peu le général que la gaieté et l'entrain de Mme Blidot amusaient toujours. Le mariage se fit sans bruit ni fête: deux veufs qui se marient ne font pas de noce comme des jeunes gens. On dîna chez le général, avec le curé et le notaire. Dans l'après-midi, Mme Dérigny s'installa chez le général avec les enfants. M. et Mme Moutier devinrent seuls maîtres de l'Ange-Gardien. Le general désira que l'auberge du General reconnaissant restât ouverte

L'ange-gardien. «Y a-t-il du logement pour moi, pour deux mioches et pour mon chienrecommença Moutier

Après avoir détruit la ville, le général Wolfe se rejeta sur les campagnes. Il fit brûler toutes les paroisses depuis l'Ange-Gardien au levant du sault Montmorency jusqu'aux montagnes du cap Tourmente et couper les arbres fruitiers. Il fit subir le même sort

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