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Le futur héros était grand pour son âge, d'une figure ovale et agréable, teint clair, très blond, avec des cheveux abondants, digne fils du baron de Longueuil, que les sauvages avaient nommé l'alouette,

C'est ainsi que, le nez en l'air, les mains dans ses poches, il arrivait au bout du village, dans quelque sillon de blé, dans un sentier qui filait entre des champs de seigle ou de pommes de terre. Alors la caille chantait l'amour, la perdrix appelait son mâle, l'alouette célébrait dans les nuages le bonheur d'être mère; derrière, dans les ruelles lointaines, le coq lançait son cri de triomphe; les tièdes bouffées de la brise portaient, semaient partout les graines innombrables qui doivent féconder la terre: l'amour, toujours l'amour! Et, par-dessus tout cela, le soleil splendide, le père de tous les vivants, avec sa large barbe fauve et ses longs bras d'or, embrassant et bénissant tout ce qui respire! Ah! quelle persécution abominable! Faut-il être malheureux pour rencontrer partout, partout la même idée, la même pensée et les mêmes ennuis! Allez donc vous débarrasser d'une espèce de teigne qui vous suit partout, et qui vous cuit d'autant plus qu'on se remue. Dieu du ciel,

Il aime, tout comme l'alouette chante, tout comme joue un chaton.

Voyez-vous, la coquillade! murmurait-il. La coquillade est un des noms de l'alouette huppée, l'alouette de pays, toujours perchée sur motte ou sur roche, et qui ne se laisse pas facilement approcher. Alouette ou caille, Zanette s'envolait, mais la lourde tardarasse, l'aigle bâtard, volait aussi et comptait bien l'atteindre.

«Je vais aller me promener avec l'alouette, elle vous chantera de mes nouvelles, puis elle se taira pour toujours sur le sillon elle sera descendue. Voil

Alors le bohémien vint l'embrasser, riant en montrant ses dents blanches, et disant: «Tu vois, je ne t'oublie pas... la première chanson de l'alouette est pour toi!

Pourquoi donc tout l'atelier S'attriste-t-il de la sorte Avec le peintre Gautier? C'est que l'alouette est morte!!! Il aimait tant col oiseau Auquel, sur la serinette, Il apprenait un morceau Ou l'air d'une chansonnette! Un rayon parti des champs Venait-il dorer sa cage, L'alouette dans ses chants Semblait rêver paysage,

On prétend que l'alouette sait observer dans son chant de gracieuses séparations; cela n'est pas vrai, puisqu'elle nous sépare . Quelques-uns disent que l'alouette a changé d'yeux avec le crapaud dégoûtant: oh! que je voudrais qu'ils eussent aussi changé de voix, puisque cette voix nous arrache des bras l'un de l'autre, et te chassent d'ici par ces sons qui appellent le jour.

Quand les bergers enflent leur chalumeau d'avoine; Quand l'alouette joyeuse sonne le réveil du laboureur; Quand les tourterelles se caressent, et roucoulent et murmurent, Et que la jeune bergère blanchit son linge, Alors, etc. L'HIVER, chante

Or, pourquoi la plaine est-elle prosaïque, et pourquoi l'alouette, le grillon, la brise dans les épis sont-ils poétiques? Qui pourrait le dire? Peut-être parce que l'alouette présente le contraste d'un peu de joie au milieu de cette monotonie de tristesse, et d'un peu d'amour maternel au-dessus de son nid, cette délicieuse réminiscence de nos mères?