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Mis à jour: 9 juin 2025
C'est le dimanche matin, 29 juillet, que l'Aconcagua jette l'ancre dans la baie de Coronel. Immédiatement, je descends
À Chillan, ville de 25,000 habitants, la gare est envahie par une foule nombreuse, portant des bouquets de camélias. C'est le curé qui conduit son peuple faire ovation aux quatre Soeurs espagnoles de la Merced, qui se trouvent dans le train. Elles occupent aux premières un compartiment réservé, et je suis étonné de reconnaître en elles les quatre Soeurs que j'avais eues pour compagnes de voyage dans l'Aconcagua. À cinq heures, nous arrivons
Ce navire de la Pacific steam Company déplace 1,900 tonnes et a une machine de 250 chevaux effectifs. Les cabines sont sur le pont où il y a plus d'air; mais, au dessous on vient d'installer 200 boeufs, des moutons, des poules; c'est l'arche de Noé, par trop parfumée sans doute. Je suis heureux de rencontrer des voyageurs de l'Aconcagua, qui vont au Callao, et j'ai pour compagnons de navigation le bon Don Mariano Casanova, gouverneur ecclésiastique de Valparaiso, et deux de ses amis: M. Jean Walker Martinez, qui s'en va
Les bonnes Soeurs me parlent de la supérieure de l'hôpital de Talca, qui est revenue de France dans le navire l'Aconcagua. Fille unique d'une riche famille, elle est allée recueillir l'héritage paternel, et après l'avoir distribué aux pauvres, elle retourne soigner les malades aux antipodes de sa patrie. Pour les enfants de Dieu, les sentiments de la nature ne sont pas détruits, mais fortifiés; un horizon plus large les étend
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