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J'ai été en prison au temps j'avais encore des chimères, l'on me trouvait toujours au premier rang, d'attaque, comme disent les ouvriers, quand il s'agissait de pérorer en quelque réunion publique, de sonner la diane de revanches aux miséreux, de montrer le poing aux repus et aux satisfaits, de cogner contre ce vieil édifice social qui malgré ses lézardes nargue les plus farouches assauts et qu'hélas, ni vous, ni moi, nous ne démolirons de sitôt. J'ai connu, comme quelque vieux cheval de retour l'amertume, le spleen des geôles l'on s'abrutit peu

Les cloisons recrépies de plâtre noirci par le temps, et crevassées de nombreuses lézardes, laissent apercevoir les lattes vermoulues qui forment ces minces parois; dans l'une d'elles, une porte disjointe s'ouvre sur l'escalier.

La fille aveugle n'avait jamais su que le plafond était sale, les murs décrépits et lézardés, et laissant

La rue était si étroite que nos deux chevaux ne pouvaient pas toujours y marcher de front. M. N... me précédait, me montrant du bout de sa cravache les portes trouées, les murs lézardés, les maisons vides.

En effet, la gare, bâtie une des premières de la ligne, était insuffisante, indigne du Havre, avec sa remise en vieille charpente, sa marquise de bois et de zinc, au vitrage étroit, ses bâtiments nus et tristes, lézardés de toutes parts. C'est une honte, je ne sais pas comment la Compagnie n'a pas encore flanqué ça par terre.

Au milieu de la rue Saint-Denis, presque au coin de la rue du Petit-Lion, existait naguère une de ces maisons précieuses qui donnent aux historiens la facilité de reconstruire par analogie l'ancien Paris. Les murs menaçants de cette bicoque semblaient avoir été bariolés d'hiéroglyphes. Quel autre nom le flâneur pouvait-il donner aux X et aux V que traçaient sur la façade les pièces de bois transversales ou diagonales dessinées dans le badigeon par de petites lézardes parallèles ? Evidemment, au passage de toutes les voitures, chacune de ces solives s'agitait dans sa mortaise. Ce vénérable édifice était surmonté d'un toit triangulaire dont aucun modèle ne se verra bientôt plus

«Les institutions politiques, économiques et sociales tombent en ruines; elles gênent, elles empêchent le développement des germes qui se produisent dans leurs murs lézardés et naissent autour d'elles. Un besoin de vie nouvelle se fait sentir. Le code de moralité établie, celui qui gouverne la plupart des hommes dans leur vie quotidienne, ne paraît plus suffisant.

En ce moment, les bâtiments intermédiaires jetaient, par leurs fenêtres crevées, des tourbillons de fumée rousse que traversaient de longues flammèches bleues. Les toits s'embrasaient, gercés de lézardes ardentes, s'entr'ouvrant, comme une terre volcanique, sous la poussée du brasier intérieur.

Il fait nuit. Les chouettes houloulent dans les lézardes de la muraille; les grenouilles coassent au sein du marécage voisin; le gros chat noir ronronne, accroché

Ce pavillon paraissait aussi dans un grand état de délabrement; de profondes lézardes sillonnaient les murs; les fenêtres et les persiennes, autrefois peintes en gris, étaient, avec les années, devenues presque noires; les six croisées du premier étage, donnant sur la cour, n'avaient pas de rideaux; une espèce de rouille grasse et opaque couvrait les vitres; au rez-de-chaussée on voyait,