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Mis à jour: 12 juin 2025


Il tâche de se soulever, puis retombe; et en claquant des dents: J'éprouve une fatigue ... comme si tous mes os étaient brisés! Pourquoi? Ah! c'est le Diable! je me souviens, et même il me redisait tout ce que j'ai appris chez le vieux Didyme des opinions de Xénophane, d'Héraclite, de Mélisse, d'Anaxagore, sur l'infini, la création, l'impossibilité de rien connaître!

Comment s'appelait-il et d'où venait-il, qui était-il? on ne s'en occupa point davantage; c'était un atome de moins dans l'infini, et l'oeil de Dieu seul est assez perçant pour voir et compter les atomes humains.

Et, d'abord, sache Que le monde tu vis est un monde effrayant Devant qui le songeur, sous l'infini ployant, Lève les bras au ciel et recule terrible. Ton soleil est lugubre et ta terre est horrible. Vous habitez le seuil du monde châtiment.

Tantôt, ce sont des apostrophes: «Principe éternel, âme de l'univers, ô grand esprit, ô Dieu! toi qui resplendis dans ce firmament sublime, et qui vis dans l'infini de ces soleils et de ces mondes étincelants...» Tantôt, des sentences synthétiques: «Je définis la métaphysique l'idée de Dieu, et la poésie, le sentiment de DieuOu encore: «Vous autres artistes, vous êtes des colombes, et nous, logiciens, des bêtes de sommeParfois, mais rarement, il y a un trait d'ironie: «A quoi sert la critique?

L'intelligence n'explique pas au coeur pourquoi et comment l'univers est beau; dans aucune langue humaine le véritable poëte ne saurait rendre la véritable impression qu'il reçoit du spectacle de l'infini.

Et l'armoire était grande ouverte, béante, montrant, sur ses trois planches, l'entassement de papiers dont elle débordait. Alors, elle se rua, l'oeuvre de destruction commença, au milieu de l'ombre sacrée, de l'infini repos de cette veillée funèbre. Enfin! répéta-t-elle tout bas, depuis trente ans que je veux et que j'attends!... Dépêchons, dépêchons, Martine! aidez-moi!

D'autre côté, son Piddington, dans un petit volume, lui résume et lui met en main l'expérience des tempêtes, ce qu'on fit pour les éviter, parfois pour en profiter même. Cela explique et justifie les belles paroles d'un Hollandais, le capitaine Jansen: «Sur mer, la première impression est le sentiment de l'abîme, de l'infini, de notre néant. Sur le plus grand navire, on se sent toujours en péril.

Oh! qu'elle y consente! qu'elle revête une de ces robes, fût-ce une minute! et cette minute, quand il la verra habillée comme l'ancienne, contiendra vraiment pour lui tout le paroxysme de la ressemblance et l'infini de l'oubli.

«Quel fait plus prodigieux que celui dont nous sommes témoins! Quel événement plus émouvant dans les annales de notre planète! Dès ce moment, nous entrons en communication directe avec nos frères de l'Infini. Avant de disparaître notre humanité les aura vus et aura obtenu d'eux l'assurance que les Terres du Ciel sont le séjour d'êtres intelligents et heureux...»

C'est douloureusement vrai. Et nous parlâmes de cette soif de l'infini qui fait notre tourment et notre gloire. Sa sensibilité, si vive et si profonde, le rendait parfois éloquent. Jamais je n'avais compris, comme en l'écoutant, notre misère très auguste, notre grandeur très misérable. J'aurais voulu lui dire quelle force les catholiques trouvent dans la communion, mais je n'osai pas.

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