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Mis à jour: 9 mai 2025


Et je restai, méditant une action terrible et cherchant comment je me vengerais et comment Athènè exaucerait mon voeu. Et ce dessein me sembla le meilleur dans mon esprit. La grande massue du kyklôps gisait au milieu de l'enclos, un olivier vert qu'il avait coupé afin de s'y appuyer quand il serait sec. Et ce tronc nous semblait tel qu'un mât de nef de charge

Je parlai ainsi, et leur cher coeur fut brisé, se souvenant des crimes du Laistrygôn Antiphatès et de la violence du magnanime kyklôps mangeur d'hommes. Et ils pleuraient, répandant des larmes abondantes. Mais il ne servait

Et il dit ce qu'avait fait le kyklôps, et comment il l'avait châtié d'avoir mangé sans pitié ses braves compagnons; et comment il était venu chez Aiolos qui l'avait accueilli et renvoyé avec bienveillance, et comment la destinée ne lui permit pas de revoir encore la chère terre de la patrie, et la tempête qui, de nouveau, l'avait emporté, gémissant, sur la mer poissonneuse.

Et nous, de notre côté, Threttanélo, nous chercherons le Kyklops en bêlant, et si nous t'attrapons gorgé de vin, la besace pleine de légumes sauvages, imprégné de rosée, ivre-mort au milieu de tes brebis et gisant endormi, nous prendrons un grand pieu brûlé par le bout et nous te crèverons l'oeil. KARI

Et moi je veux Threttanélo imiter le Kyklops et vous faire marcher ainsi

Ils parlaient ainsi, mais ils ne persuadèrent point mon coeur magnanime, et je lui parlai de nouveau injurieusement: Kyklôps, si quelqu'un parmi les hommes mortels t'interroge sur la perte honteuse de ton oeil, dis-lui qu'il a été arraché par le dévastateur de citadelles Odysseus, fils de Laertès, et qui habite dans Ithakè.

Quand le kyklôps eut empli son vaste ventre en mangeant les chairs humaines et en buvant du lait sans mesure, il s'endormit étendu au milieu de l'antre, parmi ses troupeaux. Et je voulus, dans mon coeur magnanime, tirant mon épée aiguë de la gaine et me jetant sur lui, le frapper

Et, aussitôt parmi eux, le héros Aigyptios parla le premier. Il était courbé par la vieillesse et il savait beaucoup de choses. Et son fils bien-aimé, le brave Antiphos, était parti, sur les nefs creuses, avec le divin Odysseus, pour Ilios, nourrice de beaux chevaux; mais le féroce Kyklôps l'avait tué dans sa caverne creuse, et en avait fait son dernier repas. Il lui restait trois autres fils, et un d'entre eux, Eurynomos, était parmi les prétendants. Les deux autres s'occupaient assidûment des biens paternels. Mais Aigyptios gémissait et se lamentait, n'oubliant point Antiphos. Et il parla ainsi en pleurant, et il dit:

Et nous partageâmes les troupeaux du kyklôps, après les avoir retirés de la nef creuse, et nul ne fut privé d'une part égale. Et mes compagnons me donnèrent le bélier, outre ma part, et après le partage. Et, l'ayant sacrifié sur le rivage

Le soir, le kyklôps revint, ramenant ses troupeaux du pâturage; et, aussitôt, il les poussa tous dans la vaste caverne et il n'en laissa rien dans l'enclos, soit par défiance, soit qu'un dieu le voulût ainsi. Puis, il plaça l'énorme pierre devant l'entrée, et, s'étant assis, il se mit

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