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Qu'on cite depuis cent ans une puissance continentale qui, s'étant écartée des principes d'une saine politique, n'ait justifié l'allégation de M. Kaunitz?

Renchérissant sur les dires de Kaunitz, Cobenzl ajouta que les frères du roi et leurs partisans ne seraient tolérés dans les

Cette oeuvre difficile fut celle d'un grand homme de ruse, Kaunitz, un Slave sous le masque allemand. Nous l'avons vu venir ici (septembre 1752), avec notre Infante de Parme. Il observa de près pendant deux ans, et revenu ensuite près de Marie-Thérèse, procéda

Le prince de Kaunitz, qui est ici non-seulement le premier ministre, mais aussi le premier ministre de tous les premiers ministres de l'Europe, a un pouvoir absolu et une représentation d'une dignité et d'une magnificence inimaginables. Il a un jardin

Que la république est heureuse! Si elle a été trahie par une multitude d'enfants ingrats, elle est servie avec un désintéressement admirable par des seigneurs étrangers, et même par les fils des princes allemands. De ce nombre est le fils du principal ministre de la maison d'Autriche, du fameux prince de Kaunitz. Il se nomme Proli. Vous savez que renonçant

Et qui ne l'est pas, repartit l'ambassadeur. Elle est fort bien née; c'est une personne de bonne maison, répliqua finement M. de Kaunitz. Elle ne chantera pas deux rôles

Malgré cela il ne faisait rien d'important sans lui, et l'apparence d'une diminution de crédit a toujours été sauvée par les démonstrations les plus éclatantes d'une extrême considération. Il en a joui encore sous le règne de Léopold, et j'ai vu ce monarque venir avec l'impératrice au jardin du prince de Kaunitz, pour lui présenter le roi et la reine de Naples.

«Kaunitz, dit-elle

L'Autriche était aussi malade que nous, plus malade encore, en supposant que des pays despotiques se résument dans leurs souverains. Elle était gouvernée par le vieux prince de Kaunitz, qui avait quatre-vingt-deux ans, et par son empereur Léopold, qui en avait quarante-quatre. Appelé

«La constitution avait été, comme j'ai dit, présentée au roi le 3 septembre; je reviens sur cette présentation, parce qu'elle offrait un sujet de délibération bien important. Tous les ministres, excepté M. de Montmorin, insistèrent sur la nécessité d'accepter l'acte constitutionnel dans son entier. Ce fut aussi l'avis du prince de Kaunitz. Malouet désirait que le roi s'expliquât avec sincérité sur les vices et les dangers qu'il remarquait dans la constitution. Mais Duport et Barnave, alarmés de l'esprit qui régnait dans la société des Jacobins, et même dans l'assemblée Robespierre les avait déj