Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 24 mai 2025
Jory, qu'elle voyait pour la première fois, devait la tenter, avec sa fraîcheur de poulet gras, son grand nez rose qui promettait. Elle le poussa du coude, finit brusquement, voulant l'exciter sans doute, par s'asseoir sur les genoux de Mahoudeau, dans un abandon de fille.
Tu ne vas plus raconter qu'on te coupe ce que tu écris sur nous, puisque tu es le maître... Et jamais un mot, tu ne nous as pas seulement nommés, dans ton dernier Salon.» Gêné et bégayant, Jory s'emporta
«Mange donc! lui cria Sandoz. Nous attendrons bien que tu aies mangé.» Mais elle s'entêtait, demeurait debout. «Laisse... Tu ferais mieux de passer le pain. Oui, derrière toi, sur le buffet... Jory préfère les tartines, la mie qui trempe.» Sandoz se leva
«Ah! dit plaisamment Jory, en entrant dans la salle, quelle glacière! On respire ici.» Tous se découvrirent et s'essuyèrent le front avec soulagement, comme s'ils arrivaient sous la fraîcheur de ombrages, au bout d'une longue course en plein soleil. La salle était vide. Du plafond, tendu d'un écran de toile blanche, tombait une clarté égale, douce et morne, qui se reflétait, pareille
«Dis donc, est-ce que tu viens dîner jeudi?... Ils y seront tous, Fagerolles, Mahoudeau, Jory, Gagnière.» Chaque jeudi, on se réunissait chez Sandoz, une bande, les camarades de Plassans, d'autres connus
L'autre jour, dit Jory, Jules Favre a fait un fameux discours... Ce qu'il a embêté Rouher!» Mais les trois autres ne le laissèrent pas continuer, la querelle recommença. Qui ça, Jules Favre? qui ça, Rouher? Est-ce que ça existait! Des idiots, dont personne ne parlerait plus, dix ans après leur mort! Ils s'étaient engagés sur le pont, ils haussaient les épaules de pitié.
Cela glaça le commencement du dîner. Vainement, Henriette recommanda les kilkis, seule Christine les trouva très bons. Sandoz, que l'embarras de Jory récréait, lui rappela joyeusement, quand les rougets grillés parurent, un déjeuner qu'ils avaient fait ensemble
Mais, quand ils eurent débouché sur l'Esplanade, la querelle devint si violente, qu'ils s'arrêtèrent, au milieu de la vaste étendue. Hors de lui, Claude traita Jory de crétin: est-ce qu'il ne valait pas mieux détruire cette oeuvre que de la livrer médiocre? Oui, c'était dégoûtant, ce bas intérêt de commerce! De leur côté, Sandoz et Mahoudeau parlaient
Jory montrait en effet une hérédité d'avarice, dont on s'amusait. Il ne payait pas les femmes, il arrivait
Un quart d'heure plus tard, Claude et Jory prirent eux-même congé, en le laissant au travail, acharné dans le jour qui tombait. Et, dehors, quand le premier se fut séparé de son compagnon, il ne rentra pas tout de suite rue de Douai, malgré sa longue absence. Un besoin de marcher encore, de s'abandonner
Mot du Jour
D'autres à la Recherche