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Mis à jour: 21 juin 2025


C'était le correspondant Alcide Jolivet, et s'il faisait tant de questions insignifiantes, c'est qu'au milieu de tant de réponses qu'elles amenaient, il espérait surprendre quelque fait intéressant «pour sa cousine». Mais, naturellement, on le prenait pour un espion, et on ne disait pas devant lui un mot qui eût trait aux événements du jour.

Et moi je l'ai adressé au Daily-Telegraph dès dix heures treize. Bravo, monsieur Blount. -Trop bon, monsieur Jolivet. A charge de revanche! Ce sera difficile! On essayera pourtantCe disant, le correspondant français salua familièrement le correspondant anglais, qui, inclinant sa tête, lui rendit son salut avec une raideur toute britannique.

Oui,... reprit Alcide Jolivet, ma cousine Madeleine... C'est avec elle que je corresponds! Elle aime

Quand je vous disais que c'était tout ce qu'il y a de plus plaisant, confrère! s'écria Alcide Jolivet. Si donc, messieurs, vous voulez me suivre, reprit Michel Strogoff, nous rejoindrons ma voiture, et.... Mais la télègue? fit observer l'Anglais.

Je la suivrai, monsieur Jolivet. Alors, il est possible que nous nous retrouvions sur un terrain moins sûr peut-être que le parquet de ce salon! Moins sûr, oui, mais.... Mais aussi moins glissantrépondit Alcide Jolivet, qui retint son collègue, au moment celui-ci allait perdre l'équilibre en se reculant.

«Prodigues comme des pillardsdit Alcide Jolivet

Alcide Jolivet, sans jamais sortir d'ailleurs des bornes d'une parfaite convenance, ne laissait pas d'être empressé près de la jeune Livonienne, qu'il trouvait charmante. Il admirait l'énergie silencieuse qu'elle montrait au milieu des fatigues d'un voyage fait dans de si dures conditions.

Nous comptons bien en agir ainsi, répondit Harry Blount. Soit, reprit Michel Strogoff, mais ne perdez pas un instant. Louez ou achetez une voiture dont.... Dont l'arrière-train, ajouta Alcide Jolivet, veuille bien arriver en même temps que l'avant-train

»Tilmont avait avec lui un vieux matelot, nommé Jolivet, dont il était sûr, car ils naviguaient ensemble depuis vingt ans; nous convînmes de nos faits, et huit jours après la fuite de Dubreuil, jour pour jour, les choses étaient en bon train.

Nicolas Korpanoff, négociant d'Irkoutsk, répondit Michel Strogoff. Mais m'apprendrez-vous quelle aventure, si lamentable pour l'un, si plaisante pour l'autre, vous est arrivée? Je vous fais juge, monsieur Korpanoff, répondit Alcide Jolivet. Imaginez-vous que notre postillon est parti avec l'avant-train de son infernal véhicule, nous laissant en panne sur l'arrière-train de son absurde équipage!

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