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Mis à jour: 29 juillet 2025
Le bon Tartarin s'y engagea par serment, et cinq minutes après, il voyait son cachot envahi par ses anciennes connaissances du Rigi-Kulm et de la Tellsplatte, l'âne bâté Schwanthaler, l'ineptissimus Astier-Réhu, le membre du Jockey-Club avec sa nièce (hum! hum!...), tous les voyageurs du circulaire Cook. Honteux, craignant d'être reconnu, le malheureux se dissimulait derrière les piliers, reculant, se dérobant
Mais il y avait trois courses? Oui. Il y avait le prix du Jockey-Club, une coupe d'or. Il s'est même passé une chose assez bizarre. Laquelle? Chut donc! cria le public. Laquelle? répéta Albert. C'est un cheval et un jockey complètement inconnus qui ont gagné cette course. Comment?
Un général qui s'appelle Bataille; un comte de Fitz-James, un membre du Jockey-Club, un aimable gentilhomme, un vieux grognard de l'amour; un fabricant de plumes de fer un M *, un personnage venimeux et vénéneux qui manque aux comédies de Barrière, un type curieux de la médiocratie exaspérée; une femme d'Odessa; des Grecs anémiques.
JOCKEY: Déplorer la race des jockeys. JOCKEY-CLUB: Ses membres sont tous des jeunes gens farceurs et très riches. Dire simplement «le Jockey» : très chic, donne
«Tiens, Bonnivard...» s'écria l'effrontée petite Parisienne coiffée d'un chapeau Directoire, que le monsieur du Jockey-Club faisait passer pour sa nièce. Le Tarasconnais ne se laissa pas démonter.
Que tu as raison, répondit Eugène, de parler et d'agir comme tu fais, mais que je n'ai peut-être pas tort; j'en fais le pari, si tu veux. Soit, dit Marcel, parions un cigare, comme les membres du Jockey-Club. Aussi bien, tu n'as plus que faire ici. J'ai trente et un francs, nous sommes riches. Allons de ce pas chez mademoiselle Pinson; je suis curieux de la voir.
Je vole chez un ami que j'ai la chance de compter parmi les membres du Jockey-Club, et il se trouve justement que c'est le garçon le plus sympathique
Vers le commencement du mois de novembre 1855, le comte Pierre de Villerglé possédait l'une des écuries les plus belles et les mieux composées qu'on pût voir dans le faubourg Saint-Honoré: son cheval favori, Calembour, avait gagné le prix du Jockey-Club aux courses du printemps. Le comte occupait un vaste appartement au rez-de-chaussée d'un magnifique hôtel bâti par un fermier général, rue du Miromesnil. Il passait pour très-riche, et l'était réellement, bien qu'il eût écorné son patrimoine d'un demi-million pour se mettre sur un pied convenable dans le beau monde de Paris. M. de Villerglé était d'une bonne noblesse de province: l'écusson de sa famille, issue de l'Anjou, figurait dans la salle héraldique des croisades au musée de Versailles. A tous ces avantages, il joignait une santé
Si le duc de Gramont-Caderousse, celui que le Jockey-Club appelait notre cher duc, celui dont on disait, quand il montrait sur le boulevard ses favoris roux, son maigre profil et le camellia de sa boutonnière: Voil
Les membres du Jockey-Club venaient de fêter, ce soir, la toute récente élection
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