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Mis à jour: 22 juin 2025
J'étais encore sous la poterne du Jardinier et j'allais entrer dans la Cour du Téméraire quand il m'a semblé entendre quelque chose... on eût dit une porte que l'on refermait... cela avait fait comme un bruit de bois et de fer... de serrure... je passai vivement la tête hors de la poterne et je crus apercevoir une vague silhouette humaine près de la porte du Château Neuf, une silhouette, qui, aussitôt, s'était confondue avec l'ombre du Château Neuf elle-même; j'armai mon revolver et, en trois bonds, entrai dans l'ombre
Et Babet en alla chercher un qu'on avait apporté tout frais dans la soirée; je le partageai en plusieurs poignées; j'armai de la plus menaçante la main de Mme Valbouillant, et découvrant mon post-face: Je me livre
Craignant de trouver quelque animal féroce, j'armai mon fusil et partis aussitôt dans la même direction; mais je ne pus les atteindre, et ils arrivèrent bien longtemps avant moi auprès des chiens. J'entendis alors Jack me crier: «Accourez, mon père, accourez! il y a l
À notre retour, je fus spectateur d'une chasse dont je n'avais pas idée. Nos limiers, qui étaient en avant, poursuivirent des oiseaux qui allèrent se percher sur les branches d'un bouleau peu élevé. Aussitôt j'armai mon fusil et j'allais faire feu, lorsque mon guide m'arrêta en me disant qu'il était inutile de perdre la poudre et le plomb, que nous prendrions bien ces oiseaux avec la main. Ayant coupé une longue baguette qu'il dépouilla de ses scions, il attacha a l'une de ses extrémités un lacet de cheveux qu'il présenta avec précaution
J'armai pareillement le mien, et nous regardâmes devant nous.
J'approchais du domaine, lorsque, par aventure, il me parut voir, sur le chemin, un homme qui accourait derrière moi. J'armai mon fusil, songeant que si c'était le maître des mulets, j'aurais maille
Nous étions tous trois assis et nous les observions, faisant en sorte de deviner leurs intentions. Au mouvement que fit l'un d'eux pour prendre son arc sur son épaule, j'armai mon fusil; le léger bruit du ressort de mon arme suffit pour les terrifier; ils jetèrent leurs flambeaux et, comme deux bêtes fauves effarouchées, ils disparurent dans la forêt.
Cependant la nuit arriva brusquement, extrêmement obscure, comme les nuits des pays du Sud. Parvenus au pied des arbres que nous avions remarqués dans la matinée, je fis allumer nos flambeaux et faire un grand bruit; puis j'armai chacun de mes fils d'un bambou. À peine la lumière se fut-elle faite, que nous vîmes voltiger autour de nous une nuée d'ortolans.
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