Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 25 mai 2025
Ai-je vécu autrement depuis que j'existe, et avons-nous pu croire que trois jours de combat dans la rue donneraient
» Aussi vrai que je te le dis. Mais il paraît que mon frère, Charles Bourgeot.... » Bourgeot! » Oui, c'est mon nom véritable, Larençon n'est qu'un pseudonyme. » Et? » Et, comme on ne suppose pas que j'existe, mon frère Charles reste l'unique héritier.... » Mais comment savez-vous?
C'est dans cette situation, qu'une voix qui, depuis que j'existe, a toujours fait tressaillir mon coeur, sut me rappeler
Oh! aussi sûr que j'existe. Quand on ne sait pas ce qu'on fait!
Fi donc! quelle indigne pensée! Je veux faire un poème comme Kacatogan, non pas en un chant, mais en vingt-quatre, comme tous les grands hommes; ce n'est pas assez, il y en aura quarante-huit, avec des notes et un appendice! Il faut que l'univers apprenne que j'existe. Je ne manquerai pas, dans mes vers, de déplorer mon isolement; mais ce sera de telle sorte, que les plus heureux me porteront envie. Puisque le ciel m'a refusé une femelle, je dirai un mal affreux de celles des autres. Je prouverai que tout est trop vert, hormis les raisins que je mange. Les rossignols n'ont qu'
Il est très certain que la connoissance de cette proposition, j'existe, dépend de celle-ci, je pense, comme il nous a fort bien enseigné: mais d'où nous vient la connoissance de celle-ci, je pense?
Elle eut un geste d'insouciance superbe: Baste! interrompit-elle, est-ce que les insultes me touchent, est-ce que je n'y suis pas tellement accoutumée que je ne les sens plus! J'ai dix-huit ans, je n'ai ni famille, ni parents, ni amis, ni personne au monde qui sache seulement que j'existe, et je vis de mon travail. Voyez-vous d'ici les humiliations de chaque jour! Depuis l'âge de huit ans je gagne le pain que je mange, la robe que j'ai sur le dos et le loyer du taudis où je couche. Comprenez-vous ce que j'ai enduré,
Je dus croire que le spirituel romancier m'avait rangé dans la catégorie de ses Mille-et-un Fantômes; et, pour prouver au public que j'existe bien réellement, je me suis décidé
« Pauvre infortunée, oh! combien vous me devenez chère! Combien, combien avec ce coeur brûlant, cette délirante imagination, vous avez dû souffrir de morts!... « J'ai eu tous mes maux, et sa mort, je l'ai vue et... j'existe!...» Je n'étais plus
Mais enfin, j'existe
Mot du Jour
D'autres à la Recherche