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Mis à jour: 16 juin 2025
»Je suivis, en frémissant, le scélérat qui me jugeait capable de seconder son odieux projet. Il me conduisit dans l'intérieur du château: un silence profond y régnait. Arrivé dans une salle basse, il me laissa en me disant d'attendre son retour. Je restai seul quelques minutes; j'écoutais attentivement si je n'entendais rien qui pût m'instruire; mais un calme profond et extraordinaire me fit juger que l'homme qui m'avait introduit l'habitait seul, et j'avoue qu'alors je formai le projet de délivrer la terre de ce monstre et de sauver son innocente victime; mais je fus trompé dans mon espoir: mon homme revint tenant un enfant dans ses bras: il était suivi d'un autre personnage qui était masqué, et qui me regardait sans parler. «Tiens, voil
A trois heures du matin, je fus réveillé par un choc violent. Je m'étais redressé sur mon lit et j'écoutais au milieu de l'obscurité, quand je fus précipité brusquement au milieu de la chambre.
O mon ami, souffrons, puisque jamais le coeur Ne convainc qu'en ouvrant plus large sa blessure; Puisque l'âme est féroce, et puisqu'on ne s'assure De l'amour que par la douleur! Nous n'avions plus besoin de parler, j'écoutais Le rêve sillonner votre pensif visage; Vous étiez mon départ, mes haltes, mes voyages, Et tout ce que l'esprit conçoit quand il se tait.
D'abord c'était la guitare de Chrysanthème que j'écoutais volontiers;
Ainsi disait Nelson, et j'écoutais ses paroles avec recueillement, parce que sa voix était celle d'un homme juste.
Un jour de printemps précoce, j'étais seul dans la forêt et j'écoutais ses bruits. Je pensais
Je ne répondis pas: depuis un instant, mon attention était attirée ailleurs et j'écoutais avec distraction. Nous avions atteint un plateau boisé, et nous suivions un chemin creux dont les haies vives ne permettaient de rien voir, mais n'empêchaient pas d'entendre un chant grave et lointain qui s'élevait par intervalles. Je m'arrêtai en imposant silence de la main
Goethe s'était rapproché des dames pendant que j'écoutais les récits de Riemer et de Meyer sur l'Italie. Le conseiller du gouvernement Schmidt, bientôt après, se mit au piano, et joua des morceaux de Beethoven, qui parurent être écoutés avec un profond intérêt. Une dame de beaucoup d'esprit raconta des traits du caractère de Beethoven.
«J'écoutais le curé de Saint-Germain-des-Prés. Vous vous doutez bien avec quel mélange de stupéfaction et d'anxiété! Comme lui et encore plus que lui, je croyais être sûre de l'innocence de ma fille; mais les innocents tombent souvent, même par innocence... Et ce qu'elle avait dit
Je ne partageais certes pas le fétichisme de son entourage, mais connaître et apprécier un si grand esprit, un si puissant caractère, savoir ce qu'il était et ce qu'il n'était pas absorbait mon attention. Je considérais les séances du conseil comme une sorte de drame, et j'écoutais curieusement les interlocuteurs et surtout l'empereur.
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