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Mis à jour: 25 juin 2025
Oui, Jeanne, et elle le comprend maintenant; je vous promets qu'elle sera bien raisonnable. Nannette, nous irons demain chez Mme Dumont pour savoir quand on aura besoin de toi; si tu as les yeux gonflés, elle croira que tu as oublié ce qu'elle a fait pour nous. Ma mère, je vais mener notre vache aux champs, ça me remettra un peu.» Mme Isaure caresse l'enfant simple de Jeanne.
D'abord, je ne les laisse pas manger toute la journée, et quand ils mangent, je mets un linge devant eux pour que leurs habits se salissent moins. Je n'ai pas besoin de les laver si souvent, et cela m'épargne du temps et de l'argent.» Mme Isaure venait voir tous les jours sa petite fille qui croissait
En ce moment le docteur P... arriva, et partagea ses soins entre Isaure et sa mère. Il les prodigua avec d'autant plus de zèle, qu'il s'accusait d'être la cause de l'état ou il voyait la comtesse. En effet, c'est lui qui avait parlé la veille, chez l'abbesse du couvent des Filles de la Miséricorde, du danger où se trouvait la nièce de madame de Saverny. Il l'avait peint dans toute sa force, pour engager ces dames
«Mon Dieu, maman, dit Isaure en retournant au château, j'ai tant de robes qui ne me servent plus! ne pourrais-tu pas en donner une
Le lendemain, après midi, Jeanne et Nannette s'habillèrent, ainsi que Louis, et elles allèrent chez Mme Dumont. Mme Isaure était dans le jardin, et avait une écharpe rouge. Louis courut
J'en parcourus deux ou trois numéros; le seul article littéraire que j'y trouvai, avait pour titre: Une petite soeur de Fabiola. Il était signé d'un nom de femme. Je reconnus avec plaisir qu'il était dans le genre de ma Clémence Isaure, mais plus faible. Et cette considération me détermina
Isaure, moins expressive peut-être, mais sentant aussi vivement, répondait au tendre attachement de sa soeur adoptive par ces douces prévenances, par ces soins de tous les instants, et ces avis qui jamais ne blessent lorsqu'on les reçoit, parce qu'ils prouvent combien on s'intéresse au bonheur de ceux auxquels on les donne. Elles étaient devenues inséparables; travaux, récréations, peines, plaisirs, tout entre elles deux était une association continuelle. Célina s'en trouvait bien, et, depuis longtemps, aucun propos inconsidéré, aucun rapport nuisible, n'étaient venus troubler son repos, ni porter atteinte
«Ne te désole pas trop, ma petite Jeanne; nous ne t'abandonnerons pas, lui disait Isaure.
Il est resté si peu de documents sur l'histoire de cette femme célèbre, que plusieurs écrivains graves, Catel, Lafaille, Cazeneuve, et tout récemment les auteurs de l'Histoire de la ville de Toulouse, ont trouvé plaisant de présenter Clémence Isaure comme un personnage imaginaire.
On s'occupa le jour même d'acheter et de couper les vêtements de la petite Jeanne, afin de pouvoir les lui donner le vendredi suivant; il n'y avait plus que quatre jours, il ne fallait pas perdre de temps. Isaure fit les ourlets, pendant que sa mère, sa soeur et la bonne faisaient les coutures. Quand tout fut fini, la bonne dit: «Mesdemoiselles, vous croyez avoir pensé
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