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Le cavalier disait vrai: Victorin s'est battu cette fois encore en soldat intrépide et en général consommé... Le coeur bien joyeux, je l'ai retrouvé au fort de la mêlée: il n'avait, par miracle, reçu qu'une légère blessure... Sa réserve, prudemment ménagée jusqu'alors, décida du succès de la bataille; elle a duré sept heures... Les Franks en déroute, menés battant pendant trois lieues, furent refoulés vers le Rhin, malgré la résistance opiniâtre de leur retraite. Après des pertes énormes, une partie de leurs hordes fut culbutée dans le fleuve, d'autres parvinrent

Je tordrai dans mon poing les cheveux Des folles qui pleurent sous les tentes La déroute des hordes chantantes Dont elles assouvissaient les voeux. Que l

Toutes ces hordes sanglantes, ces victimes qui bondissaient, ces feux de bûchers et d'incendies, ces houles humaines qui déferlaient

Il faut l'avouer, il est peu de nations policées qui aient une morale aussi généralement estimable que les Arabes bedouins; et il est remarquable que les mêmes vertus se retrouvent presque également chez les hordes turkmanes, et chez les Kourdes; en sorte qu'elles semblent attachées

Dans les ruelles qui y conduisent, encombrées de chiens morts, de chats morts, d'immondices de toute sorte, je rencontre une foule qui s'y rend aussi, par intérêt moqueur, tout un pèlerinage napolitain escorté de moines, hommes et femmes ayant sur la poitrine la croix rouge, comme ces hordes bruyantes qui, dans notre Midi français, se rendent

Les Saiads, d'après leur dire, sont les seuls véritables Seistanis, et cela est possible, car eux seuls peuvent avoir échappé en corps aux hordes mongoles, en prenant des provisions

«Ce soir nous disons: «Combien étaient-ils donc, ces Franks?...» Plusieurs années se sont passées depuis que j'ai écrit pour toi, mon enfant, le récit de la grande bataille du Rhin. L'extermination des hordes franques et de leurs établissements sur l'autre rive du fleuve a délivré la Gaule des craintes que lui inspirait cette invasion barbare toujours menaçante.

Il ne faut pas oublier que la Sibérie qui, depuis les débuts de l'ère glaciaire, était sans communications avec l'Europe, séparée qu'elle en était par les glaciers des steppes russes et le lac aralo-caspien, venait de s'ouvrir sur l'ancien monde et que ses hordes, chassées de leur patrie par le froid s'ébranlaient pour venir, par vagues successives, envahir l'Europe, l'Iran, les Indes

Enfin le branle-bas général a commencé; cette heure attendue avec tant d'impatience a sonné, et tous, petits et grands, font leurs préparatifs de départ. Pas un ne reste inactif dans cette grande ruche rien ne manque, ni la reine, ni le miel, ni les travailleuses, ni les frelons. De toutes les rues, vers toutes les barrières, voyez s'avancer ces hordes d'émigrants: ils ont fait de tendres adieux

Dans une bataille actuelle, en face d'une armée moderne, avançant, comme font tous les soldats maintenant, en lignes brisées de tirailleurs, s'abritant derrière chaque saillie du sol et derrière chaque pierre, de sauvages hordes comme en forment les Albanais auraient peu de chances de succès. On peut difficilement les contraindre