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Mis à jour: 16 juin 2025
Le roi redoubla ses protestations; il mourait d'impatience de délivrer sa chère reine; il monta sur le dos du dragon, comme il aurait fait sur le plus beau cheval du monde: en même temps les monstres vinrent au-devant de lui pour l'arrêter au passage, ils se battent, l'on n'entend que le sifflement aigu des serpents, l'on ne voit que du feu, le soufre et le salpêtre tombent pêle-mêle: enfin le roi arrive au château; les efforts s'y renouvellent; chauves-souris, hiboux, corbeaux, tout lui en défend l'entrée; mais le dragon avec ses griffes, ses dents et sa queue, mettait en pièces les plus hardis. La reine de son côté qui voyait cette grande bataille, casse ses murs
Il va de soi que l'institution tenait aussi l'article sinistre, tel que cris de hiboux, hurlements de chiens
La Révolution de Juillet eut tout de suite des amis et des ennemis dans le monde entier. Les uns se précipitèrent vers elle avec enthousiasme et joie, les autres s'en détournèrent, chacun selon sa nature. Les princes de l'Europe, au premier moment, hiboux de cette aube, fermèrent les yeux, blessés et stupéfaits, et ne les rouvrirent que pour menacer. Effroi qui se comprend, colère qui s'excuse. Cette étrange révolution avait
La nuit vient quand nous nous remettons en route. Cris de hiboux, cris de bêtes de proie; concert infini de toutes sortes d'insectes
Comme les dieux de l'enfer païen, le sorcier ne sait point s'attendrir, et pour se venger de ses ennemis, quelquefois même pour tourmenter par plaisir ceux qui lui font envie, il les frappe de maladies effroyables. M. de Saint-André parle d'une jeune fille ensorcelée, qui, après avoir perdu le mouvement et la respiration, vomit, pendant plusieurs mois, des coques d'oeufs, du verre, des coquilles, des clous de roues de chariot, des couteaux, des aiguilles et des pelotes de fil. D'autres vomissaient des crapauds, des serpents, des hiboux; quelquefois le sorcier ordonnait au diable lui-même d'entrer dans le corps de la victime, et alors on voyait se produire, par l'effet du maléfice, tous les phénomènes de la possession. Les ensorcelés qui portaient en eux un autre être, se détournaient de la société des hommes pour s'exiler dans les cimetières, et jusque dans les tombeaux. Leur figure avait la couleur du cèdre; leurs yeux rouges comme des charbons, sortaient des orbites; leur langue, roulée comme un cornet, pendait sur leur menton, et le contact et la vue des choses saintes produisaient sur eux le même effet que l'eau sur les hydrophobes. La médecine était impuissante
Lorsque la lune argente les vagues, que le ver luisant brille dans l'herbe, que le feu follet s'agite autour des tombeaux et la flamme sur les marécages; lorsque les étoiles sillonnent le ciel de leurs traînées lumineuses, que les hiboux gémissent en se répondant, que les feuilles des arbres de la colline demeurent silencieuses et immobiles, mon ame pèse sur la tienne de tout son poids, armée d'un signe et d'un pouvoir redoutable.
L'une de ces cordes était un vrai câble: c'était la corde du gros bourdon, qu'on sonnait rarement. Le sonneur, pourtant vigoureux était obligé de se faire aider pour le mettre en branle. Ruggieri saisit ce câble et le secoua en levant la tête. Une douzaine de hiboux effarés se mirent
Rougon, qui avait suivi la direction de son regard, lâcha le store, pendant qu'elle le plaisantait. Il était donc comme les hiboux, il cherchait l'ombre. Mais il ne se fâchait pas, il marchait au milieu du cabinet, sans montrer le moindre dépit. Son grand corps avait des mouvements ralentis d'ours rêvant quelque traîtrise.
Il était couvert de monstres, dont les différentes figures auraient épouvanté une reine moins timide; les hiboux et les chouettes, quelques corbeaux et d'autres oiseaux de sinistre augure s'y faisaient entendre; l'on apercevait dans un lointain une montagne d'où coulaient des eaux presque dormantes; ce sont toutes les larmes que les amants malheureux ont jamais versées, dont les tristes amours ont fait des réservoirs.
Nous pouvons tous éprouver ou imaginer le regret ou la tristesse avec laquelle on contemple les ruines des cités qui furent autrefois des capitales d'empires. Les réflexions que suggère un semblable sujet ont été faites trop souvent pour qu'il soit nécessaire de les reproduire ici. Mais jamais la petitesse de l'homme et la vanité de ses meilleures vertus, le patriotisme qui exalte son pays et la valeur qui le défend, n'apparaissent avec plus d'évidence que dans le souvenir de ce que fut Athènes et dans la certitude de ce qu'elle est aujourd'hui. Ce théâtre des luttes de factions puissantes, des disputes d'orateurs, de l'élévation et de la déposition des tyrans, du triomphe et de la condamnation des générations, est devenu aujourd'hui une scène de petites intrigues et de perpétuelles dissensions entre les agens tracassiers de certaine noblesse et gentilhommerie bretonne. «Les renards sauvages, les hiboux et les serpens, dans les ruines de Babylone,» étaient sûrement moins déprédateurs que de tels habitans. Les Turcs ont pour leur tyrannie l'excuse de leur conquête, et les Grecs n'ont fait que subir le sort de la guerre, que peuvent subir les peuples les plus braves. Mais comment seraient-ils coupables, quand deux peintres se disputent le privilége de dépouiller le Parthénon, et triomphent tour
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