Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 23 juin 2025


Je sens venir cela depuis des semaines. C'est ce whisky. Jamais tu n'y touches, sauf quand nous allons chez les Harris. Tu sais pourtant que tu ne le supportes pas. Tu n'as pas la tête solide. Ce n'est pas le whisky; c'est plus sérieux que cela. Je pense que c'est une affection plutôt mentale que physique. Tu as encore lu ces critiques, dit Ethelbertha avec un peu plus de sympathie.

Nous répondons que nous finissons nos cigarettes, que nous viendrons tout de suite après, et nous supplions Mme Harris de ne pas laisser Muriel commencer avant notre arrivée. Elle promet de tout faire pour calmer le zèle de l'enfant et s'en va. Harris, la porte fermée, reprit sa phrase interrompue. Vous comprenez ce que je voulais dire, un changement total. Comment le réaliser?

Elle était sur le point d'envoyer encore chez M. Harris quand il arriva environ sur les cinq heures; son opinion fut cependant moins alarmante que son délai: tout en avouant qu'il trouvait un grand changement dans l'état de sa malade, il ne la crut pas dans un danger pressant, et donna l'espoir qu'un nouveau traitement aurait plus de succès; il en parla avec une telle confiance qu'il la communiqua

Harris et le mousse feraient tout le travail intéressant; hisser la voile, gouverner, nager debout au vent, prendre des ris. A eux tous les agréments, tandis que George et moi nous éplucherions les pommes de terre et ferions le ménage. Soit, concéda-t-il, prenons un beau yacht avec un capitaine et faisons les choses grandement. Je m'y opposai encore.

Une maison de la Forêt Noire. Les relations qu'on pourrait faire. Son parfum. George refuse énergiquement de rester couché après quatre heures du matin. La route qu'on ne saurait manquer. Mon flair extraordinaire. Une réunion de gens peu reconnaissants. Harris savant. Sa confiance sereine. Le village: il se trouvait et il aurait être. George: son plan. Nous nous promenons

Toutes les cellules ordinaires sont sur le même modèle. M. Harris, qui servait d'interprète au Français, car sir Robert M... ne parlait que sa langue maternelle, exprima alors le désir de voir la salle de correction, puis les cachots des condamnés

Alors M. Harris et M. Firmin Bellecombe (c'était, on s'en souvient, le nom que se donnait le chirurgien) se trouvèrent dans une salle de dix pieds carrés, ayant maintenant le greffe

Mais dussiez-vous dormir, dit M. Harris, le tapage qui se fera dans la rue, deux ou trois heures avant l'exécution, vous réveillera. Et M. Harris ouvrit la croisée et fit signe

Monsieur Morok était le caissier principal de la maison Harris Johnson et Cie. C'était un rude et terrible homme que monsieur Morok. Il avait cinquante-neuf ans d'âge et quarante-cinq ans de maison de banque. A quatorze ans, il était entré comme expéditionnaire dans les bureaux de la maison Harris, au temps du grand-père du banquier actuel.

A chaque exécution, on choisit le plus ancien écolier et le plus nouveau, et tous deux viennent passer quelques heures auprès du cadavre. Comme le chirurgien paraissait ne savoir que très-imparfaitement l'anglais, M. Harris, un peu revenu de son émotion, se fit un devoir de lui traduire l'explication donnée par sir Robert M... Puis ils passèrent de nouveau devant le cachot.

Mot du Jour

linea

D'autres à la Recherche