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Mis à jour: 11 juillet 2025
Quel est donc l'imbécile qui a dit le premier qu'elle, avait été constituée par des Forts pour l'oppression des Faibles? Elle a été établie par des Faibles, et par la ruse, pour l'asservissement des Forts, C'est le Faible qui règne, partout; le faible, l'imbécile, l'infirme; c'est sa main d'estropié, sa main débile, qui tient le couteau qui châtre... Nous arrivons devant la Halle aux Plumes.
Les deux hommes remontaient la rue Saint-Honoré, longeant les maisons du côté de la halle au blé, et, le chapeau rabattu sur les sourcils, le manteau drapé jusqu'aux yeux, marchaient d'un pas pressé, et qui avait quelque chose de militaire, vers la rue de la Ferronnerie. Chicot continua de les précéder.
De chaque côté de cette longue halle, deux rangées d'énormes colonnes cylindriques, aussi grandes, en diamètre comme en hauteur, que celles de Saint-Pierre de Rome, s'élevaient du sol jusqu'
La halle municipale était une immense nef
Reinhard termine cette lettre en rappelant les éloges que certaines feuilles publiques «et surtout les gazettes littéraires de Goettingue et de Halle très répandues en Allemagne» donnaient au roi pour tout le bien qu'il avait fait
Car telle était la situation que lui faisait son passé, qu'il était, entre les mains du marquis comme un œuf entre celles d'un fort de la halle... Au moindre soupçon de trahison M. de Valorsay fermait la main, et lui, Coralth, il était écrasé...
Il y en avait bien d'autres que la faim ne menait point. Il y avait des marchandes, des portières, des filles publiques, compatissantes et charitables, comme elles le sont souvent. Il y avait un nombre considérable de femmes de la halle; celles-ci fort royalistes, mais elles désiraient d'autant plus avoir le roi
La coulerie, une halle immense entourée d'une plateforme, située au premier étage du bâtiment principal, occupait trois cents ouvrières, pour la plupart de fraîches, potelées et turbulentes filles, sanguines, peu vergogneuses, la bouche rieuse et gourmande, les yeux hardis, la langue bien pendue, uniformément et proprement vêtues d'une jupe de «baie» bleue, d'un caraco de colonnette, de bas de couleur, la chevelure tordue en chignon et ramassée sous un petit bonnet blanc et tuyauté dont les brides leur tombaient dans le dos. Employées
La fierté souffrante de Napoléon supposa ces pensées. On s'en aperçut dans une halle de ce jour: l
Du 1er Août. Dyon Pauline, 61 ans, épouse Larose, rue St-Jean, 1 Dutilleul Louis, 47 ans, époux Bertin, rue d'Iéna, 151 Bailliez Mauricette, 9 ans, rue des Célestines, 33 Caullet Julia, 3 ans, rue de la Halle, 27 Ampe Léonie, 53 ans, rue Le Fort, 20 Verriest Marie, 58 ans, épouse Mazure, rue d'Esquermes, 93 Beaucamps Maria, 26 ans, épouse De Decker, rue Roland, 48 Pinet Adrienne, 1 an, rue d'Haubourdin, 22 Allegaert Anne, 60 ans, veuve Gouwy, quai de la Basse-Deûle, 104 Decottignies Anne, 80 ans, veuve Dubois, rue Meurein, 107, impasse Ramar, 19.
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