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Mis à jour: 9 juin 2025
C'est de tout coeur que je m'associe aux sentiments si bien exprimés par M. Ludovic Halévy. Je le fais avec quelque autorité et quelque connaissance, étant déj
«Qu'il est beau, cet enfant!....» lui dit Isabelle. Mais Charles répond: c'est un Anglais. L'enfant approche, et Bedfort le présente au monarque: Donnez-lui le baiser de paix. Vous avez sur son front posé le diadème. Moi? moi? Opera de Charles VI. paroles de MM. Casimir et Germain Delavigne, musique de M. F. Halévy. C'est l'héritier préféré par vous-même qui doit régner un jour... Jamais!
Dans la préface des Notes d'un Librettiste, Ludovic Halévy, s'adressant
Coppée parlant de Mlle Read, déclare qu'elle n'aime que les affligés, les souffrants, les malheureux, qu'elle hait les chanceux, les heureux, les gens ayant l'argent et la gloire. C'est la femme, dont Mme Halévy dit: «Je ne la vois plus, mais si je me cassais la jambe, je suis sûre qu'elle reviendrait auprès de moi!» Lundi 25 juillet.
On est surpris au premier abord des louanges accordées par Berlioz aux œuvres d'Halévy, d'Auber et d'Adam. On est un peu scandalisé de trouver sous sa plume cette appréciation du Shérif d'Halévy: «Jamais M. Halévy ne s'est montré si abondant, si riche et si original. Cette œuvre a une physionomie tout
Il est possible qu'en sortant de la première de Carmen, il ait subi une dépression morale passagère, mais Guiraud ne me l'a pourtant pas signalée, n'y attachant pas probablement plus d'importance qu'il ne convenait, et il ne m'a pas parlé de cette marche dans Paris qui aurait duré toute la nuit et pendant laquelle Bizet, seul avec lui, aurait exhalé sa douleur. D'ailleurs, dans un article du Théâtre , sur la Millième Représentation de Carmen, Ludovic Halévy a écrit ceci qui est très positif: «Nous habitions, Bizet et moi, la même maison..., nous rentrâmes
Histoire d'une Grande Dame au dix-huitième siècle, la princesse Hélène de Ligne, par Lucien Perey. Princesse, par Ludovic Halévy. Jeanne Avril, par Robert de Bonnières.
M. Offenbach est le grand coupable. Sa musique vive, alerte, douée d'un charme véritable, a fait la fortune de l'opérette. Sans lui, elle n'aurait jamais eu un si absolu triomphe. Il faut ajouter qu'il a été singulièrement secondé par MM. Meilhac et Halévy, dont les livrets resteront comme des modèles. Ils ont créé le genre, avec un grossissement forcé du grotesque, mais en gardant un esprit très parisien et une finesse charmante dans les détails. On peut dire de leurs opérettes qu'elles sont d'amusantes caricatures, qui se haussent parfois jusqu'
En 1835, Lefébure-Wély était admis au Conservatoire dans la classe de piano de Zimmerman et dans la classe d'orgue de Benoist. En 1834, il obtenait aux concours du fin d'année le second prix dans les deux classes, et les deux premiers prix lui étaient décernés l'année suivante. Harmoniste de sentiment, mais ayant la tête et les doigts meublés d'innombrables formules, le brillant lauréat de notre école nationale voulut achever son éducation par des études de composition idéale. Berton, Adolphe Adam, Halévy lui donnèrent leurs conseils, et, sans nul doute, Lefébure-Wély eût ajouté son nom
Le lendemain même de la mort de M. Calmann Lévy, M. Ludovic Halévy écrivait ces lignes que je veux citer: «Calmann Lévy est un des hommes les meilleurs, les plus intelligents, les plus droits que j'aie jamais connus.
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