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Il distribuait les tables, déterminait quelles étaient les personnes qui devaient y manger, réglait le service de chacune. Le grand-maréchal du palais était prévenu des ordres que Leurs Majestés donnaient pour le service de leurs tables, et des invitations qu'elles faisaient faire. Il chargeait les préfets des détails des services.

Le grand-maréchal du palais prenait les ordres de Leurs Majestés pour le moment du service, et les transmettait au premier préfet, qui veillait

Il fut reçu par le Grand-Maréchal et toute la cour dans une maison qui lui avoit été préparée, y ayant trop peu de place dans celle que le roi occupoit, il y en avoit

Cette déclaration n'était appuyée d'aucune mesure bien directe: le grand-maréchal continua son séjour

Les attributions du grand-maréchal du palais étaient: Le commandement militaire dans les palais impériaux et leurs dépendances, la surveillance de leur entretien, embellissement et ameublement, la distribution des logemens; Le service de la bouche, les tables, le chauffage, l'éclairage, l'argenterie, la lingerie et la livrée.

Le grand-maréchal et le général Drouot, seuls grands personnages auprès de l'empereur. Destinée connue de Sa Majesté. Les commissaires des alliés. Demande et répugnance de l'empereur. Préférence pour le commissaire anglais. Vie silencieuse dans le palais. L'empereur plus calme. Mot de Sa Majesté. La veille du départ et jour de désespoir. Fatalité des cent mille francs que m'avait donnés l'empereur. Question inattendue et inexplicable de M. le grand-maréchal. Ce que j'aurais faire. Inconcevable oubli de l'empereur. Les cent mille francs déterrés. Terreur d'avoir été volé. Affreux désespoir. Erreur de lieu et le trésor retrouvé. Prompte restitution. Horreur de ma situation. Je quitte le palais. Mission de M. Hubert auprès de moi. Offre de trois cent mille francs pour accompagner l'empereur. Ma tête est perdue et crainte d'agir par intérêt. Cruelles réflexions. Tortures inouïes. L'empereur est parti. Situation sans exemple. Douleurs physiques et souffrances morales. Complète solitude de ma vie. Visite d'un ami. Fausse interprétation de ma conduite dans un journal. M. de Turenne accusé

Le prince de Neufchâtel, le grand-maréchal, le grand-écuyer et tous les aides-de-camp et les officiers militaires de la maison de l'empereur, ont toujours accompagné sa Majesté. Notre cavalerie était tellement démontée, que l'on a réunir les officiers auxquels il restait un cheval, pour en former quatre compagnies de cent cinquante hommes chacune.

L'empereur serrant de la main droite le grand-maréchal, resta un quart-d'heure la tête appuyée sur la main gauche dans le plus profond silence. Le grand-maréchal rompit le premier ce silence. Ah! sire, allez-vous-en! ce spectacle vous peine!

Mr. de Sekendorff, grand-Maréchal d'Anspac, arriva dans ces entrefaites. J'ai déj

En quittant l'île d'Elbe, l'Empereur avait ordonné au grand-maréchal Bertrand d'empaqueter