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Mis à jour: 26 mai 2025
Sans compter tant d'autres gouffres ouverts autour de ce principal devis... Mais le pauvre curé de campagne s'est dit qu'il remplacerait sa misérable chapelle, qui tombe en ruines, par une vraie église, grande et belle comme une Cathédrale. Il n'a rien, ni fortune, ni crédit, ni assistance,
S'il a autant d'actions bleues qu'on le dit, murmura la Nivelle; moi, d'abord, j'ai toujours eu un faible pour les bossus! Mais voyez donc ce qu'ils absorbent! Deux entonnoirs!... deux madrépores!... Deux gouffres!.. Bravo! Chaverny. Hardi, le bossu!.. deux abîmes!
C'est dans un de ces gouffres qu'en arrivant
À peine arrivé sur la rive gauche avec toute son armée, le maréchal russe rencontre les éclaireurs de la division Gazan, qui se dirigeait de Dirnstein sur Krems, ayant en tête le maréchal Mortier. Koutousoff, en apprenant l'existence d'un corps français isolé sur la rive gauche, résolut de l'écraser, et pour y parvenir, il le fait attaquer de front sur l'étroite chaussée qui longe le Danube, tandis qu'en s'emparant des hauteurs escarpées qui dominent ce fleuve, ses troupes légères vont occuper Dirnstein et couper ainsi la retraite de la division Gazan. Cette division était alors dans une position d'autant plus critique, que la plus grande partie de la flottille étant restée en arrière, on n'avait que deux petites barques, ce qui ne permettait pas d'aller chercher du renfort sur la rive droite. Attaqués en tête, en queue, et sur un de leurs flancs, par des ennemis six fois plus nombreux, se trouvant en outre enfermés entre des rochers escarpés occupés par les Russes, et les gouffres du Danube, les soldats français, entassés sur une étroite chaussée, ne furent pas démoralisés un seul moment. Le brave maréchal Mortier leur donna l'exemple d'un noble courage; car quelqu'un lui ayant proposé de profiter d'une barque pour passer sur la rive droite, où il se trouverait au milieu de la grande armée, et éviterait par l
Il avait sur sa cuirasse la croix d'argent de la Légion d'honneur. Le rôdeur arracha cette croix qui disparut dans un des gouffres qu'il avait sous sa capote. Après quoi, il tâta le gousset de l'officier, y sentit une montre et la prit. Puis il fouilla le gilet, y trouva une bourse et l'empocha. Comme il en était
La mer, en frémissant, lui cède le passage; Il vole, et sur les flots que sa chute partage, De ses liens rompus dispersant les débris. S'empare fièrement des gouffres de Thétis. Ainsi quand sur les pas d'un héros intrépide, La Grèce menaçait les bords de la Colchide, Des arbres de Dodone entraînés sur les mers. L'assemblage effrayant étonna l'univers.
Mickhaïl Ossipoff se précipita vers les cheminées, gueules effroyables du géant aux entrailles de feu, et ses regards essayèrent d'en sonder les sombres profondeurs; mais il ne vit rien que des gouffres terribles dont jamais les ténèbres éternelles n'avaient été troublées par aucun rayon solaire.
Quand les comètes vont et viennent, formidables, Apportant la lueur des gouffres insondables, A nos fronts soucieux, Brûlant, volant, peut-être âmes, peut-être mondes, Savons-nous ce que font toutes ces vagabondes Qui courent dans nos cieux?
La nécessité de s'armer pour repousser les ennemis de la liberté est sentie par tous les citoyens. Le besoin de venger nos frères massacrés est dans le coeur des concitoyens de cette grande cité, qui a si bien mérité de la patrie. Une seule raison doit frapper la Convention, c'est d'empêcher que les efforts du patriotisme ne tournent au profit de la trahison et de l'aristocratie. La guerre étrangère et la guerre civile ont été jusqu'ici des gouffres qui ont dévoré les meilleurs citoyens. Paris a fourni plus de cinquante mille hommes, soit contre les despotes coalisés, soit contre les ennemis intérieurs. Ce n'est point assez que nous arrêtions la marche des contre-révolutionnaires; prenons des mesures contre les complices des rebelles et de l'ennemi extérieur, qui cherchent
Mais le capitaine Nemo montait toujours. Je ne voulais pas rester en arrière. Je le suivais hardiment. Mon bâton me prêtait un utile secours. Un faux pas eût été dangereux sur ces étroites passes évidées aux flancs des gouffres ; mais j'y marchais d'un pied ferme et sans ressentir l'ivresse du vertige. Tantôt je sautais une crevasse dont la profondeur m'eût fait reculer au milieu des glaciers de la terre ; tantôt je m'aventurais sur le tronc vacillant des arbres jetés d'un abîme
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