United States or Qatar ? Vote for the TOP Country of the Week !


Le juif feignit de rire de tout son coeur, et M. Bolter, après avoir bien ri de son côté, finit d'avaler gloutonnement sa tartine de beurre, et se mit

Notre ami mangeait gloutonnement, interrompt Hébrard avec un sourire gamin. Vous rappelez-vous les perdreaux, il les engloutissait... il a peut-être avalé un grain de plomb, cela suffit pour une perforation, n'est-ce pas?... Lannelongue, qui a écrit cent pages, sur sa maladie, croyait

Sans choix, gloutonnement, la malheureuse dévorait les plus mauvais poëmes, pourvu qu'elle y trouvât des rimes

J'entendis deux longs soupirs auxquels je répondis; nos mains se rencontrèrent, se pressèrent avec force, je m'agenouillai près d'elle, et la renversant audacieusement dans mes bras, je dévorai gloutonnement le plaisir sur ses lèvres. Ah! mon amie, j'étais perdu!

Une chaleur montait des candélabres, des plats promenés, de la table entière trente-huit personnes s'étouffaient; et les garçons, s'oubliant, couraient sur le tapis, qui se tachait de graisse. Pourtant, le souper ne s'égayait guère. Ces dames chipotaient, laissant la moitié des viandes. Tatan Néné seule mangeait de tout, gloutonnement. A cette heure avancée de la nuit, il n'y avait l

Tel quel, «le général» le savourait avec délices... Il mangeait gloutonnement de tout, le rouge montait

Mais l'ingénieur, qui n'avait dans la délicatesse de l'Américain affamé qu'une médiocre confiance et qui craignait de le voir engloutir d'une seule lampée la nourriture de tous ses compagnons, le repoussa, disant: Allons-y doucement, mon cher sir Jonathan, j'ai lu dans des relations de voyage que des malheureux étaient trépassés pour avoir, mourants de faim, absorbé trop gloutonnement la nourriture que leur donnait leur sauveur... Gare aux indigestions.

Mais, si le décor de chacune de ces tapisseries variait, suivant la saison qu'il représentait, dans une intention qui sautait aux yeux, le fond du sujet était le même partout. C'était une profusion de fruits, de victuailles variées, de flacons, que des personnages, hommes et femmes, engloutissaient gloutonnement.

En un instant, l'enfant fut toute nue, heureuse, comme les bébés, de remuer bras et jambes dans un fouillis frais et rosé. Avidement, gloutonnement, la mère la saisit, l'examina, la palpa, la dévora du regard depuis les cheveux jusqu'aux ongles des pieds...

Quant aux Joson, il n'y avait guère que les Catiche qui mangeassent plus gloutonnement qu'eux. Les Catiche étaient nées en juin, et Mathieu Laensberg dit: «Femme née en juin aura le teint et les cheveux rouges, sera robuste, aimera la bonne chère, mais point le travail entre ses repas». Or, qui oserait prétendre que Mathieu Laensberg se soit trompé ou ait jamais trompé?