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Pour se délasser d'études si sérieuses, Ginguené composait des fables qu'il a publiées au nombre de cinquante en 1810 . Les sujets, presque tous empruntés d'auteurs italiens, Capaccio, Pignotti, Bertola, Casti, Gherardo de' Rossi, Giambattista Roberti, se sont revêtus, en passant dans notre langue, de formes aimables et piquantes. En ce genre difficile, la plus grande témérité est d'imiter Lafontaine; il est moins périlleux et plus modeste d'essayer de faire autrement que lui, et c'est ce qu'a tenté Ginguené, avec un succès peu éclatant, mais réel et supérieur peut-être
Gherardo, frère du seigneur de Piombino, séduisit nos insulaires par sa magnificence; mais, né dans les plaisirs. Gherardo ne put souffrir les incertitudes de la guerre, et il se retira chez son frère.
Il faut aller visiter la rue Ste-Brigitte ou la rue Porto, le soir de la veille de Noël. C'est une scène fantastique digne du pinceau de Gherardo dell Notti. Qu'ils sont beaux
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