Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 20 juin 2025
Après Georgette, René-Jean, l'aîné, le grand, qui avait quatre ans passés, se réveilla. Il se leva debout, enjamba virilement son berceau, aperçut son écuelle, trouva cela tout simple, s'assit par terre et commença
La maîtresse de Monsieur, femme de cinquante ans environ, de taille moyenne et corpulente, était vêtue d'un costume aussi sombre, aussi sévère que celui de Georgette était pimpant et gai. Il se composait d'une robe brune, d'un mantelet de soie noire et d'un chapeau de même couleur; les traits de cette femme avaient dû être agréables dans sa jeunesse, et ses joues fleuries, ses sourcils prononcés, ses yeux noirs encore très vifs s'accordaient assez peu avec la physionomie revêche et austère qu'elle tâchait de se donner. Cette matrone
Alors, répondit madame Marocain, il se lassera des rigueurs de Georgette et ira chercher fortune ailleurs. S'il voulait réellement épouser Georgette, il serait déj
Georgette descendit du fiacre: Attendez-moi ici! dit-elle d'une voix émue
Georgette fit mine de ne pas entendre. Elle continua: En dansant, j'ai senti sa main trembler sur ma taillé. Il a bégayé quelques mois, se plaignant de la chaleur. Moi, voyant que les rosés de mon bouquet lui faisaient envie, je lui en ai donné une. Il n'y a pas de mal
Un rayon du matin était sur son berceau; il eût été difficile de dire quel était le plus rose, du pied de Georgette ou de l'aurore. Les deux autres dormaient encore; c'est plus lourd, les hommes; Georgette, gaie et calme, jasait. René-Jean était brun, Gros-Alain était châtain, Georgette était blonde. Ces nuances des cheveux, d'accord dans l'enfance avec l'âge, peuvent changer plus tard.
Et Mme Grivois retourna précipitamment vers l'hôtel, suivie de Monsieur qui paraissait aussi courroucé qu'elle-même. Georgette, leste et légère, courut de son côté vers le pavillon, afin de prévenir Mlle Adrienne de Cardoville que Mme Grivois l'avait vue... ou croyait l'avoir vue rentrer furtivement par la petite porte du jardin. II. La toilette d'Adrienne.
Les enfants se réveillèrent. Ce fut d'abord la petite. Un réveil d'enfants, c'est une ouverture de fleurs; il semble qu'un parfum sorte de ces fraîches âmes. Georgette, celle de vingt mois, la dernière née des trois, qui tétait encore en mai, souleva sa petite tête, se dressa sur son séant, regarda ses pieds, et se mit
A douze ans, Paul Mirot aimait mademoiselle Georgette Jobin, l'institutrice. Il l'aimait parce qu'elle avait de grands yeux noirs et la peau blanche, la taille souple et le geste gracieux, bref, parce que c'était une belle fille. Il est vrai qu'elle était bonne pour lui, qu'elle le traitait en favori, parce que l'admiration de cet enfant pour sa beauté, la touchait comme un hommage sincère, sans l'ombre d'une mauvaise pensée. Souvent elle le gardait après la classe, l'amenait chez-elle, le prenait sur ses genoux et le faisait causer. Le petit homme appuyait sa tête blonde sur cette poitrine aux contours provocants, respirait avec délices le parfum de cette chair de femme et tâchait de dire des choses jolies pour qu'on lui permit de rester plus longtemps, comme cela,
Georgette, les coudes aux genoux et le menton gentiment assis sur le petit pliant que formaient les paumes des mains jointes, fit tout
Mot du Jour
D'autres à la Recherche