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Mis à jour: 13 juin 2025
Trois gauchos, dans la mêlée, avaient été arrachés de leurs chevaux et faits prisonniers par les Argentins. L'un d'eux était Pincheira, l'autre Chillito, et le troisième se nommait Diego. Un conseil de guerre, improvisé en plein air, les condamna
Le soir même, sous sa conduite, une petite caravane de Quichuas sortait du territoire de Quiron et s'engageait dans les plaines habitées par les sujets espagnols. Maître Taillevent, Camuset et quelques autres matelots de Port-Bail, déguisés en gauchos, c'est-
Oh! s'écria-t-il en venant auprès des gauchos, quels sont ceux qui portent des masques? Oh! oh! est-ce que, au lieu d'une embuscade ce serait un crime, et au lieu d'une attaque indienne une vengeance espagnole. Voyons un peu! Il arracha du visage des quatre gauchos les lambeaux de laine qui servaient
Le capataz, soutenu par le bombero, examina le visage des gauchos. Je reconnais celui-ci fit-il en désignant du doigt un cadavre, c'est Mato. Je sais maintenant quel est l'auteur du guet-apens. Caraï! tant mieux! Mais le corps de don Fernando n'est pas l
Sûr désormais de les retrouver, Diaz marcha plus lentement, et, pour se donner une contenance en cas de surprise, ou écarter de lui tout soupçon, il alluma une cigarette. Les gauchos, par bonheur, ne se retournèrent pas une seule fois et pénétrèrent dans le bois
Sangre de Cristo! hurla Chillito, en plantant vigoureusement son couteau dans le comptoir. Tu m'en rendras raison. Par ma foi! une saignée te fera du bien, le bras me démange de te donner une navajeda sur ta vilaine frimousse. Vilaine frimousse! as-tu dit? Et Chillito se précipita sur Mato qui l'attendait de pied ferme. Les autres gauchos se jetèrent entr'eux pour les empêcher de se joindre.
Le jour où commence cette histoire, vers deux heures de l'après midi, cinq ou six gauchos, attablés dans la boutique d'un pulpero, discutaient vivement en avalant
Trahison! trahison! Le major et le colonel, qui combattaient au premier rang de leurs volontaires et des soldats, se retournèrent; ils étaient pris entre deux feux. Pincheira, revêtu de son uniforme d'officier chilien, caracolait en tête d'une centaine de gauchos plus ou moins ivres qui le suivaient en hurlant: Pillage! pillage!
Soit qu'il fût amolli par les délices de sa résidence de San-José; soit que l'âge eût amorti son énergie; soit qu'il nourrît une basse jalousie contre le président Lopez, ou qu'il ne crût pas aux formidables moyens d'action que possédait le chef paraguayen; pour toutes ces causes réunies, peut-être, Urquiza rallia ses Gauchos, mais il garda une attitude expectante.
Sous l'escorte des gauchos de Quiron, le frère d'Isabelle alla prendre possession de son gouvernement, qu'il occupa jusqu'en 1808, époque
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