Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 13 mai 2025
«Je vous en prie, mon cher papa, faites-moi revenir près de vous et gardez-moi toujours; je serai si heureux de vous revoir
Agnès le regarda fixement; elle n'était pas sûre de comprendre. «Êtes-vous réellement obligé de partir!» demanda-t-elle. Henry lui répondit en souriant: «Gardez-moi le secret ou Montbarry ne me pardonnera jamais.» Elle lut le reste sur son visage, «Quoi! s'écria-t-elle, c'est pour moi que vous sacrifiez vos vacances et votre voyage en Italie.
Aimée, sans en connaître la cause, savait que les deux amis, blessés en duel, avaient été en danger de mort. Au premier mot de départ, elle se jeta dans les bras de Mademoiselle: «Gardez-moi près de vous, s'écria-t-elle; vous aurez besoin de moi pour vous aider
Ne vaut-il pas mieux que le garçon soit battu maintenant que de devenir un filou, un gueux plus tard? MADAME BONARD. J'y penserai, j'y réfléchirai, ma bonne Caroline, je vous le promets. Mais gardez-moi le secret, je vous en supplie. CAROLINE. Je veux bien, moi; au fait, ça ne me regarde pas, c'est votre affaire.
C'est très beau, dit l'avoué; seulement cela serait plus beau encore si c'était joué, car il est bien certain que par la venue chez vous de cette jeune fille qui vous dit: «Ne me prenez pas pour votre femme, puisque je ne suis pas digne de vous; mais gardez-moi pour votre maîtresse, puisque nous nous aimons», vous avez été profondément touché.
«Mes chers petits maîtres, quand votre grand'mère mourra, gardez-moi, je vous prie, ne me vendez pas, et laissez-moi mourir en vous servant.» Quant au malheureux maître de l'âne savant, je me repentis amèrement plus tard du tour que je lui avais joué, et vous verrez le mal que j'ai fait en voulant montrer mon esprit.
La première des lettres suivantes fut, comme on le verra, écrite de Diodati quelques jours avant son départ. Diodati, 5 octobre 1816. «Gardez-moi un exemplaire du Richard III de Buck, republié par Longman; mais ne m'envoyez plus de livres, j'en ai déj
Ces admirables sentiments ne sont pas pour moi. Mais, mon Dieu, vous êtes tout-puissant, gardez-moi du désespoir, ce crime des âmes lâches.
Eh bien, gardez-moi en prison, reprit Ellénore, jusqu'
«Ne m'en voulez pas, je vous en supplie. Je suis dans un moment déplorable. Entre les deux Chambres où je cours, croyant toujours parler et ne parlant jamais, et les courriers, et les persécutions de l'Europe et de l'intérieur. J'espère que tout cela finira demain. Grâce, mille fois grâce. Plaignez-moi, ne m'en voulez pas, gardez-moi votre angélique bonté.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche