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Mis à jour: 9 mai 2025


Et les quatre amis, s'élançant hors du fort, parvinrent jusqu'au champ de bataille, ramassèrent les quatre mousquets des soldats et la demi-pique du brigadier; et, convaincus que les fuyards ne s'arrêteraient qu'

Ce bref intermède, c'était la comédie préludant au drame. Les derniers fuyards n'avaient pas encore franchi la barrière protectrice, les hommes de Barba Roja, qui devaient supporter le premier choc du fauve, achevaient

Deux autres, dont l'un était un Afghan, Usbeck, vieilli au service d'Holkar, avaient passé du côté des Anglais. Le reste, ébranlé par ces fuites et ces défections, avait tourné le dos dès les premières décharges de l'artillerie anglaise. Enfin tout paraissait perdu. Mais la vue de Corcoran ranima les courages et fit tourner bride aux fuyards. «Haltecria-t-il d'une voix retentissante.

Quant aux cris d'appel, ils avaient été poussés par un malheureux qu'ils venaient de dépouiller, et dont les malles éventrées gisaient éparses dans le monte; du reste, les fuyards n'avaient point lâché leur prise et dans leur fuite précipitée, chacun avait enlevé sa part. Le Sauvons la caisse! se retrouve partout. Quelques hommes s'élancèrent

Un autre jour, jour de foire, un taureau furieux avait jeté le désordre dans le marché, et les cris des fuyards, femmes et enfants, étaient montés jusqu'au laboratoire du docteur, qui dominait la place. Le docteur avait mis alors la tête

Tout est perdu! lui répondirent en russe, en allemand, en tchèque tous ces fuyards, comprenant aussi peu que lui ce qui se passait autour d'eux. Qu'ils soient rossés, ces Allemands! Que le diable les écorche, ces traîtresrépondit un autre. Que le diable emporte ces Russesgrommelait un Allemand. Quelques blessés se traînaient le long du chemin.

On ne disparaissait pas, on s'évanouissait. C'est cette facilité des dispersions rapides qui faisait hésiter nos armées devant cette Vendée toujours reculante, et devant ses combattants si formidablement fuyards.

L'armée de Wellington, embarrassée dans sa marche par cette énorme masse de fuyards, dans laquelle hommes, femmes, enfants, vieillards, moines, religieuses, bourgeois et soldats étaient entassés pêle-mêle avec des milliers de bêtes de somme, l'armée de Wellington, dis-je, se retira dans le plus grand désordre vers Condeixa et Pombal.

Les fuyards ennemis se retirèrent sur le second échelon qui était placé sur les hauteurs de Valontina. La première position fut enlevée par le dix-huitième de ligne, et, sur les quatre heures après-midi, la fusillade s'engagea avec toute l'arrière-garde de l'ennemi qui présentait environ quinze mille hommes. Le duc d'Abrantès avait passé le Borysthène

Ce galant homme avait des plans nouveaux, un système de circulation si parfait, que, même en cas d'incendie, nul ne pourrait être étouffé dans les corridors. Il ouvrait huit portes aux fuyards, sans compter un premier étage

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