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Mis à jour: 27 juin 2025
C'était le jardin qui avait voulu la faute. Pendant des semaines, il s'était prêté au lent apprentissage de leur tendresse. Puis, au dernier jour, il venait de les conduire dans l'alcôve verte. Maintenant, il était le tentateur, dont toutes les voix enseignaient l'amour. Du parterre, arrivaient des odeurs de fleurs pâmées, un long chuchotement, qui contait les noces des roses, les voluptés des violettes; et jamais les sollicitations des héliotropes n'avaient eu une ardeur plus sensuelle. Du verger, c'étaient des bouffées de fruits mûrs que le vent apportait, une senteur grasse de fécondité, la vanille des abricots, le musc des oranges. Les prairies élevaient une voix plus profonde, faite des soupirs des millions d'herbes que le soleil baisait, large plainte d'une foule innombrable en rut, qu'attendrissaient les caresses fraîches des rivières, les nudités des eaux courantes, au bord desquelles les saules rêvaient tout haut de désir. La forêt soufflait la passion géante des chênes, les chants d'orgue des hautes futaies, une musique solennelle, menant le mariage des frênes, des bouleaux, des charmes, des platanes, au fond des sanctuaires de feuillage; tandis que les buissons, les jeunes taillis étaient pleins d'une polissonnerie adorable, d'un vacarme d'amants se poursuivant, se jetant au bord des fossés, se volant le plaisir, au milieu d'un grand froissement de branches. Et, dans cet accouplement du parc entier, les étreintes les plus rudes s'entendaient au loin, sur les roches, l
Or, des charlatans, hier, sur la promenade des dames, ont lancé une montgolfière en papier rose et blanc, beaucoup plus grosse encore que la fameuse cloche de Moscou. A peine le ballon a-t-il paru au-dessus des grands frênes de la promenade, que tout le monde rassemblé s'est écrié: «Ah! mon Dieu! voil
Et puis au lieu de ces frênes, de ces sycomores et autres plants rustiques, quelle raison vous aurait empêché d'y placer des arbres de choix qui vous eussent également donné une ombre hospitalière, et se fussent successivement couverts en différentes saisons, de fleurs et de fruits, ou même auraient conservé pendant l'automne et l'hiver une éternelle verdure .
Il était une heure et demie, lorsque le dirigeable arriva au-dessus du château des Frênes. Personne n'étant sur la pelouse
On s'y arrête un moment pour respirer la fraîcheur humide du bassin, et pour contempler les belles images renversées des frênes qui se peignent dans son miroir noirâtre, et pour voir les beaux insectes ailés appelés dans le pays demoiselles des lacs, patiner dans les rayons tremblotants de soleil sur la surface, semblable
Ils avaient marché. Des frênes les cachaient, abaissaient vers eux leurs branches. Alors, il l'attira, et son regard de volonté tomba sur la jeune fille, tranquille, pertinace. Il murmura: Si la lutte est impossible pourtant, me suivras-tu? Elle, aussi grave que lui, les joues tremblantes, répondit: Oui. Partout? Partout.
Le jour baissait sur les collines derrière le rideau de verdure des frênes et des sapins, au feuillage maintenant d'or rouge. Les premières étoiles brillaient sur la vallée dans le haut azur du soir. Soudain, le silence se fit. Au loin, un chœur de huit cents voix, d'abord invisible, commençait le Chant des Pèlerins, du Tannhauser. Bientôt les chanteurs, vêtus de longues robes brunes et appuyés sur leurs bâtons de pèlerinage, apparurent, gravissant les hauteurs du Vénusberg, en face de nous. Leurs formes se détachaient sur le crépuscule. Où d'aussi surprenantes fantasmagories sont-elles réalisables, sinon dans ces contrées, tout artistiques, de l'Allemagne?... Lorsqu'après le puissant forte final, le chœur se tut, une voix, une seule voix! celle de Retz ou de Scaria sans doute, s'éleva, distincte, détaillant magnifiquement l'invocation de Wolfram d'Eischenbach
De beaux frênes ombragent le chemin. Entre les arbres apparaît la crête neigeuse du Scorve. Tout au fond de la vallée brille la nappe tranquille du Flaa. À droite, s'étale la croupe en éventail du Thors Nutten;
Les châtaigniers s'agitaient désespérément, les jeunes frênes et les bouleaux se tordaient au-dessus de l'abîme. Dans les airs passaient, avec des cris lugubres, de grands oiseaux au plumage foncé. Un souffle de déchaînement et de fureur traversait l'atmosphère frémissante... Nous aurons une tempête, dit Isabelle en resserrant autour d'elle son grand manteau brun.
La route que nous suivons longe la rive droite du fjord de Christiania, dans un pays qui partout ailleurs serait un véritable parc: de grandes prairies semées de bouquets de pins et de frênes descendent jusqu'
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