Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 13 juin 2025


Depuis le 6 septembre, notre situation militaire s'est complètement transformée. Nos armées, qui s'étaient retirées progressivement devant l'action violente des Allemands, ont, au moment choisi par leur chef, le général Joffre, repris l'offensive sur toute la ligne. La retraite des 23 corps ennemis (plus d'un million d'hommes), poursuivis par les troupes françaises et britanniques, en nombre presque aussi énorme, est aujourd'hui générale. C'est par l'aile droite allemande (armée du général von Kluck), entre Meaux et Château-Thierry, que ce mouvement de recul a commencé devant les attaques énergiques des troupes franco-anglaises. Le 10, il était de 60

Une fois de plus, on profite de l'offensive des forces franco-anglaises, secondées par des troupes jaunes, brunes et noires, pour répandre des bruits fantastiques et dénués de tout fondement, annonçant que les troupes allemandes vont évacuer la Belgique. Le but de ces agissements est des plus évidents. On veut inquiéter la population et, en se basant sur la prétendue incertitude que présenterait l'avenir proche, détourner les habitants de leurs travaux réguliers qui sont la condition sine qua non de l'ordre public et de la satisfaction personnelle. Des meneurs impardonnables, s'adressant

Henry de Varigny. La municipalité socialiste de Brest avait préparé, concurremment avec les autorités maritimes, un programme de fêtes franco-anglaises. Elle avait commencé, le 10 juillet, par une retraite aux flambeaux, aux chants de l'Internationale et de la Carmagnole; elle devait offrir, le 14 juillet, un banquet populaire aux marins des deux escadres. L'amiral May, commandant de l'escadre anglaise, ayant déclaré que les exigences du service

Mot du Jour

trigueros

D'autres à la Recherche