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Mis à jour: 9 juillet 2025
Le reste de l'infanterie traversait en se hâtant; les fourgons avaient déj
À l'état-major on ne voyait que fourgons remplis de comestibles; on n'apercevait que cuisiniers, valets, aides de camp.» Le «camp indigent et obscur» se composait de gentilshommes pauvres classés par provinces et servant en qualité de simples soldats, qui détestent l'autre camp, celui des élégants et des gentilshommes de cour.
Toutes ces rues étaient encombrées d'infanterie, de cavaliers et surtout de caissons d'artillerie et de fourgons. Le caporal se présenta
A Sémely, on trouve un service d'automobiles qui fonctionne vers Dimotika: de grosses autos de transports, des fourgons massifs et résistants, dont les larges roues s'enfoncent jusqu'au moyeu dans le marécage de la piste.
Spahis aux burnous flottants. Fourgons régimentaires, parcs d'artillerie, voitures d'ambulance. Il y avait enfin de monstrueux canons
A ce moment, ainsi qu'une troupe d'hommes ivres, sort de la porte le peloton d'exécution, avec du sang au bout de quelques-unes de ses baïonnettes. Et pendant que deux fourgons fermés entrent dans la cour, se glisse dehors un ecclésiastique, dont on voit, un certain temps, le long du mur extérieur de la caserne, le dos maigre, le parapluie, les jambes molles
Brusquement tout a changé. Devant l'orgueilleux pavillon, il y a depuis hier trente-huit canons allemands, un aéroplane, une quarantaine de caissons de munitions, un fourneau de campagne, deux voitures de pharmacie d'ambulance, et une file de fourgons de déménagement. L'aéroplane est au centre, et les canons s'alignent de chaque côté de lui, en une rangée parfaite, aussi longue que les ailes du bâtiment, comme pour une bataille. Les caissons et les fourgons sont
Au carrefour, ajouta le sergent, tout se trouvait prêt, aligné sur le gazon, et sous la garde... des passants. Ça m'a semblé drôle, mais quoi! l'ordre était catégorique. Un des officiers examina la signature: elle était parfaitement imitée, mais fausse. La musique avait cessé de jouer, on vida les fourgons, on réintégra les meubles.
Je retourne au galop vers mon convoi: «Nous sommes sauvés, dis-je aux piqueurs; nous passerons, faites atteler.» Je reste près du petit pont et mes voitures arrivent; sitôt mes premiers fourgons enfilés sur le pont, je dis aux canonniers: «Partez rejoindre vos pièces», et je remercie ces braves soldats. Arrivé sur ce grand défilé, je ne trouve plus l'artillerie, elle était partie au galop prendre position. Je rencontre les ambulances de l'armée commandées par un colonel de l'état-major de l'Empereur qui tenait le milieu de la chaussée. Mon premier piqueur lui dit: «Monsieur le Colonel, veuillez bien nous céder la moitié du chemin. Je n'ai pas d'ordre
Celte ville renfermait une grande partie des bagages de l'armée et de son trésor, ses vivres, une foule d'énormes fourgons chargés des équipages de l'empereur, beaucoup d'artillerie, et une grande quantité de blessés. Notre déroute était tombée sur eux comme un orage imprévu. À ce coup de foudre, l'effroi avait précipité les uns, la consternation avait enchaîné les autres.
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