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Mis à jour: 22 juin 2025
Quelques malveillans ont voulu jeter de la défaveur sur cette phrase de Figaro: Sommes-nous des soldats qui tuent et se sont tuer pour des intérêts qu'ils ignorent? Je veux savoir, moi, pourquoi je me fâche? À travers le nuage d'une conception indigeste, ils ont feint d'apercevoir, que je répands une lumière décourageante sur l'état pénible du soldat; et il y a des choses qu'il ne faut jamais dire. Voil
La causerie du Grenier est aujourd'hui sur le Supplément littéraire du Figaro, tripoté par Bonnetain et Gustave Geffroy. On parle de cet Almanach de Bottin, où passent les deux critiques fraîchement décorés, Brunetière et Lemaître.
Ce sont des bijoux que les tiens. Mais celui du Comte était de bonne guerre. Allons, Superbe, humilie-toi. FIGARO fait tout ce qu'il annonce. Cela est juste;
Quand vous m'entendrez appeler, ne manquez pas d'accourir tous, et dites du mal de Figaro, s'il ne vous fait voir une belle chose. Souviens-toi qu'un homme sage ne se fait point d'affaire avec les grands. Je m'en souviens. Qu'ils ont quinze et bisque sur nous, par leur état. Sans leur industrie, que vous oubliez.
FIGARO s'avance
Ah!... qu'il revienne un autre jour. FIGARO, avec malice. Mais pendant que Monsieur a l'écrin de Madame ouvert, il serait peut-être
J'ai lu avec attention les derniers articles de M. Albert Wolff, dans le Figaro. M. Albert Wolff est un écrivain de beaucoup d'esprit et de raison; mais il «s'emballe» aisément. Quand il croit être dans la vérité, il pousse sa thèse
Jeudi 2 juin. Lu dans le Figaro, un extrait des CHOSES VUES de Hugo, extrait dans lequel, il me semble, avec une certaine fierté, reconnaître une très grande parenté, dans la vision des choses, avec celle de mon JOURNAL. Mardi 7 juin.
Comme le Commandeur avait affaire au Figaro, nous y allons; reçus par Magnard, très bien, auquel je débite mon document Jeanne d'Arc. Très amusé de mon idée; me prie de lui envoyer l'article. Rencontré l
Et elle chercha. Elle parcourut les boulevards sans rien voir, sinon le vice errant et numéroté. Elle sonda de l'oeil les grands cafés, lut attentivement la petite correspondance du Figaro, qui lui apparaissait chaque matin comme un tocsin, un rappel de l'amour.
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