Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !


Rappelons rapidement les faits principaux de l'histoire du Mexique. Il a été conquis par l'Espagnol Fernando Cortez. Son père lui faisait apprendre le latin

Don Fernando, qui, par degrés, avait repris connaissance, se demandait en quelles mains il était tombé. Sa présence d'esprit aussi lui était revenue et il ne fit aucune résistance quand les gauchos exécutèrent les ordres de l'officier chilien. Ces précautions lui révélèrent qu'on n'en voulait pas

En effet, la promesse fut tenue, et des hommes investis de toute la confiance de la cour furent désignés pour négocier avec le navigateur génois: au nombre de ces hommes se trouva Fernando de Talavera, qui venait d'être nommé archevêque de la ville nouvellement conquise. Mais dès le premier pas fait dans cette voie, survinrent de graves difficultés.

La famille de don Fernando et celle de don Luis, toutes deux originaires d'Espagne et liées l'une

Enfin, don Luis et don Fernando parurent en compagnie des deux jeunes filles. A la vue de Maria, le majordome sentit la joie lui monter du coeur au visage; il se redressa, frisa d'un doigt coquet sa moustache retroussée et lança

«Viva el rey FernandoVive le roi Ferdinand! c'est le refrain de la plupart des chansons patriotiques des Espagnols; elles sont principalement dirigées contre le vieux roi Charles, la reine et le prince de la Paix. J'en ai entendu plusieurs d'entre elles; quelques-uns des airs sont fort beaux. Godoy, le prince de la Paix, est

Femme, tu mens! fit-il en s'efforçant de se relever, je veux secourir mes frères. Tes frères, on les égorge. Toi, ne devrais-tu pas tuer mon père, mon fiancé et moi-même? Meurs, misérable, meurs de la main d'une femme! J'aime don Fernando, entends-tu! et je suis vengée.

Dès que les inconnus virent Diaz et don Fernando sans mouvement, ils poussèrent un cri de triomphe. Sans s'inquiéter du capataz, ils prirent le corps de don Fernando Bustamente, le placèrent en travers sur l'un de leurs chevaux, et

Hum! don Fernando, ce n'est guère prudent: les Indiens nous barrent sans doute le passage. Nous leur passerons sur le corps. Pardieu! c'est évident, mais si vous êtes tué? Bah! dona Linda m'attend. Comme il vous plaira, répondit le capataz. Tout est prêt pour le départ; les chevaux sont l

Les esclaves roulèrent en bas de leurs chevaux, atteints de deux coups de feu que leur avaient tirés les inconnus, et se tordirent dans les convulsions de l'agonie. Don Fernando et José Diaz, étonnés de cette attaque subite de la part d'hommes qui ne pouvaient être des Indiens, car ils portaient le costume des gauchos, et leurs mains étaient blanches, mirent immédiatement pied