Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 2 juillet 2025
Ces jungles ont leurs fauves, leurs bêtes de proie et de rapine, les unes formidablement armées pour la lutte, audacieuses, agressives; les autres cauteleuses, lâchement embusquées et multipliant sur le passage de leurs inoffensives victimes les embûches et les guets-apens.
Elle sortait de dessous ses vêtements un long poignard. ... Mais les circonstances viennent de me faire trouver mieux. Je vois d'ici les terribles nuits que passera Serge, en se représentant sa Lise bien-aimée déchirée toute vivante par la dent des fauves, en croyant entendre ses appels et ses cris de douleur. Ah! quelle douce chose que la vengeance, princesse!
»Un instant, la nuit me tenta. La dent des bêtes fauves ou les noeuds des serpents me séduisaient aussi bien que telle autre maladie. La mort ne me surprenait pas; ici ou ailleurs, peu m'importait. A cette heure-ci plutôt qu'
Tout en écoutant Gédéon, je considérais ce sombre défilé, et je me disais que l'instinct des fauves, cherchant de tels repaires, loin du ciel, loin de tout ce qui égaie l'âme ... que cet instinct tient du remords. En effet, les êtres qui vivent en plein soleil: la chèvre debout sur son rocher pointu, le cheval emporté dans la plaine, le chien qui s'ébat près de son maître, l'oiseau qui se baigne en pleine lumière ... tous respirent la joie, le bonheur ... ils saluent le jour de leurs danses et de leurs cris d'enthousiasme.... Et le chevreuil qui brame
Puis la route remontait, tortueuse, entre deux rampes de roches, dont trois pendaient comme des bêtes fauves accoudées
Mais comme la Grandeur secouait la tête en ronchonnant, peu soucieux d'aller donner le baiser de paix aux deux fauves: Ah! c'est cela, monsieur la Grandeur! je ne me trompais pas. Vous avez peur! Eh bien, il faut au moins que vous vous rendiez utile
Dans les champs, leur costume, plus négligé, est plus pittoresque encore. Ils ont les jambes nues ou couvertes de guêtres de cuir jaune jusqu'aux genoux, suivant la saison. Quand il fait chaud, ils n'ont pour tout vêtement que la chemise et le pantalon bouffant. Dans l'hiver, ils se couvrent ou d'une cape grise qui a l'air d'un froc de moine, ou d'une grande peau de chèvre d'Afrique avec le poil en dehors. Quand ils marchent par groupes avec ces peaux fauves traversées d'une raie noire sur le dos, et tombant de la tête aux pieds, on les prendrait volontiers pour un troupeau marchant sur les pieds de derrière. Presque toujours, en se rendant aux champs ou en revenant
Soliman, qui n'était tombé en arrêt que par imitation, avait pris ses aises. Couché sur le ventre, le museau allongé sur ses pattes de devant, on l'aurait cru endormi, sans les éclairs qui jaillissaient de ses yeux fauves, et sans le frémissement de son nez rosé qui cherchait
Remarquons d'abord qu'un contraste de ce genre doit forcément se rencontrer, plus ou moins accusé, dans toute tragédie. Car la tragédie vit d'actions excessivement violentes et brutales, de celles qu'on accomplit dans les moments où l'on redevient le pareil des fauves ou des hommes qui ont vécu aux époques primitives. Et, d'autre part, comme on veut que la forme soit belle, les personnages de la tragédie doivent parler le langage le plus savant, le plus élégant, le plus propre
Ils parlaient comme on hurle, riaient comme rugissent les fauves, et buvaient comme des citernes, les jambes allongées, les coudes sur la nappe, les yeux luisants sous la flamme des lampes, chauffés par un foyer formidable qui jetait au plafond des lueurs sanglantes; ils causaient de chasse et de chiens. Mais ils étaient,
Mot du Jour
D'autres à la Recherche