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Mis à jour: 28 juin 2025


..... Tout n'est point perdu; je suppose qu'il me restera, en réunissant mes forces, cent cinquante mille hommes. Les fédérés et les gardes nationaux qui ont du coeur, me fourniront cent mille hommes; les bataillons de dépôt cinquante mille. J'aurai donc trois cents mille soldats

Paris pendant les Cent-Jours. Apprêts de guerre. Levée des fédérés. A peine Louis XVIII était-il parti, qu'une foule d'officiers bonapartistes envahit le Carrousel, força les portes des Tuileries et arbora le drapeau tricolore. A part cette démonstration, la ville resta calme, triste, pleine d'anxiété: elle attendait.

Chacun s'empressa de fêter les fédérés. Il y eut plusieurs réjouissances en leur honneur: des danses, des spectacles et des joutes sur la rivière. Ils se conduisirent avec une mesure parfaite, ne perdant aucune occasion de montrer leur respect et leur attachement pour la famille royale. Aucun des moyens qu'on employa pour les séduire ne put faire varier leurs sentiments. Plusieurs d'entre eux présentèrent même les adresses les plus touchantes

Au moment les chefs des fédérés firent des motions et essayèrent quelques discours, je surpris un mouvement de Napoléon se lisaient du dégoût et de l'effroi, et une sorte d'intérêt. Je m'en fus avant la fin de cette déplaisante parade; j'avais vraiment mal pour l'Empereur.

Néanmoins, malgré sa promesse, l'Empereur, sous le prétexte que le nombre des fusils n'était point suffisant, ne fit donner des armes qu'aux fédérés de service; en sorte qu'elles passaient journellement de mains en mains, et ne restaient par conséquent en la possession de personne. Plusieurs motifs lui firent prendre cette précaution. Il voulait conserver

«La municipalité de Paris voulut aussi donner une fête aux fédérés. Il y eut joute sur la rivière, feu d'artifice, illumination, bal et rafraîchissemens

A la suite d'une fête donnée aux fédérés, le comité insurrectionnel décida qu'on partirait le matin, 26 juillet, sur trois colonnes, pour se rendre au château, et qu'on marcherait avec le drapeau rouge, et avec cette inscription: Ceux qui tireront sur les colonnes du peuple seront mis

Cependant les événements se calmèrent pour de longs mois. Une ère fleurie semblait renaître. Il vint de Paris quelques vagues espérances. Une fête avait eu lieu au Champ-de-Mars, le Roi avait embrassé les représentants de la commune et les fédérés des départements. On se répétait jusqu'

Il y avait alors près d'Avignon un jeune officier d'artillerie, qui s'appelait quelque chose comme Buonaparte ou Bonaparte. Il écrivit ces mots quelques mois après la chute des Girondins: «Pour voir lequel des Fédérés ou de la Montagne tient pour la République, une seule raison me suffit, la Montagne a été un moment la plus faible, la commotion paraissait générale. A-t-elle cependant jamais parlé d'appeler les ennemis? Ne savez-vous pas que c'est un combat

Les fédérés, après avoir assisté aux imposantes discussions de l'assemblée nationale, aux pompes de la cour, aux magnificences de Paris, après avoir été témoins de la bonté du roi, qu'ils visitèrent tous, et dont ils reçurent de touchantes expressions de bonté, retournèrent chez eux, transportées d'ivresse, pleins de bons sentimens et d'illusions. Après tant de scènes déchirantes, et prêt

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