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Mis à jour: 26 mai 2025


Alors, appuyant lui-même sur sa bouche et sur son nez un large tampon de laine, il pressa le cordon du soufflet, aviva la flamme du charbon; puis, quand le feu fut bien embrasé, il y versa les poudres qui éclatèrent en pétillements joyeux, les unes lançant des feux verts, les autres se volatilisant en étincelles pâles comme le soufre; et les essences, qui, au lieu d'éteindre la flamme, montèrent comme des serpents de feu dans le conduit, avec des grondements pareils

Si les genres et les espèces ne sont pas des essences universelles tout entières dans chacun, ou identiques dans chacun, ce ne sont pas pour cela des mots, de simples voix; car l'essence du mot ou terme vocal n'est pas l'essence du genre ou de l'espèce. Le mot, en tant que mot, a des propriétés qui répugnent

Mais Abélard semble moins préoccupé des objections que des autorités contraires. Il avoue qu'on en trouve, quoiqu'il pense avoir supprimé toute opposition possible de la part d'un esprit raisonnable. Ainsi Boèce a dit: «Quelque nombreuses que soient les espèces, le genre est un, non que chaque espèce prenne une part du genre, mais c'est que chacune a en même temps tout le genreComment concilier ces mots avec l'idée qu'une partie des essences d'animal, qui font le genre animal, est informée par la rationnalité pour faire l'homme, une partie par la forme de l'irrationnalité pour faire l'âne, et que jamais toute la quantité du genre n'est dans quelqu'une des espèces? Mais Boèce parle ainsi dans le traité il soutient que les genres et les espèces ne sont pas , ce qui ne pouvait se soutenir sans un sophisme. «Dans un sophisme le faux est

Cependant, la redingote de Son Altesse essuyait, derrière elle, le marbre de la toilette. C'était comme un fond d'alcôve, comme une étroite chambre de bain, avec la vapeur de la cuvette et des éponges, le violent parfum des essences, mêlé

Le jeune naturaliste reconnut plus particulièrement des «déodars», essences très nombreuses dans la zone himalayenne, et qui répandaient un agréable arôme. Entre ces beaux arbres poussaient des bouquets de pins, dont l

Oui, paradis! C'était un paradis tout petit que ce bouquet d'arbres au détour profond d'une allée, un morceau du paradis qu'avait oublié de garder l'ange qui porte le glaive. Quel contraste, en effet, avec tout ce qui l'entourait et frappait nos yeux! Partout ailleurs, en avant, de droite et de gauche, c'était bien octobre avec ses tons jaunes ou pourprés qui sont comme la couleur des déclins. C'était une débauche d'ocre sur la grande palette de la nature, très clair aux branches frémissantes des peupliers, plus foncé sur les masses plus denses des autres essences. Mais partout la brûlure des étés prête

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