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Mis à jour: 15 juin 2025
Pour détruire les sottes légendes que certains historiens ont brodés avec un art diabolique sur le compte du gouverneur Frontenac et de son épouse, il me suffira, je crois, de résumer l'opinion appuyée sur la raison et l'autorité de l'histoire , d'un de nos écrivains les plus consciencieux, feu Ernest Myrand: «Madame de Frontenac fut un pouvoir caché dans le rayonnement du trône de Louis XIV.
Ernest finit par nous dire: «Demain, mes chers parents, j'espère être le premier
«Les soussignés considèrent comme un devoir de vous féliciter hautement de votre action courageuse et désintéressée. Ils vous affirment leur sympathie dans l'épreuve présente. Ils seront avec vous quand vous reprendrez votre œuvre et sont sûrs de la victoire finale.» Puis, d'une voix vibrante et avec la crânerie qui lui est propre, Ernest Reyer prononça les paroles suivantes: «Mon cher Lamoureux,
Lettre XLIII. De la Brenta, le... Je viens de passer une soirée terrible! A peine ai-je la force de respirer. Je ne puis cependant rester tranquille; tout mon sang est en mouvement; il faut que je t'écrive. Je lui ai dit que je partais; elle en a été affectée, très-affectée, Ernest. Nous avons dîné seuls, le comte étant parti. Je me sentais plus malade qu'
18 janvier 1913. J... voit Ernest: il a le langage d'un chrétien. 21. J... a vu Ernest qui lui a dit qu'il demanderait peut-être bientôt
On ne commet guère d'imprudences que du côté de ses passions; or, je n'ai jamais connu que celles de l'esprit.» Tout son bonheur au monde et son unique sensualité furent de voir fleurir ses amandiers et de causer de Pascal avec M. Ernest Havet.
ERNEST. Tu as voulu faire l
Il regardait Petite mère dont la figure pâle et fine faisait contraste avec les mines rondes et joufflues de ses propres marmots. Comment t'appelles-tu? ajouta-t-il. On fit répéter trois fois la réponse. Ernest, l'aîné des enfants, déj
A ce propos, quelques vers du toujours si spirituel Ernest Reyer me reviennent
Enfin, nous avons connu, malgré nous, les trois cent mille égorgés d'Arménie. Nous avons été secoués par les récits de M. Victor Bérard et par les manifestes de M. Ernest Lavisse. Puis sont venus les massacres de Crète et l'agitation de la Grèce. L'Europe s'est émue. Le «concert européen» formé seulement des grosses puissances intéressées, et qui ne comprend ni la Suisse, ni la Belgique, ni la Hollande, ni le Danemark, ni la Suède et la Norvège s'est mis
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