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Mis à jour: 26 mai 2025
Cependant les esprits superstitieux vivement impressionnés par la mort imprévue du «puissant marquis» Robert, sur le champ de bataille de Soissons, envisageaient cette catastrophe comme une sorte de «jugement de Dieu» . L'archevêque Séulf réunit
Nous voyons donc que tout ce principe de l'honneur chevaleresque était inconnu aux anciens précisément parce qu'ils envisageaient, de tout point, les choses sous leur aspect naturel, sans préventions et sans se laisser berner par de sinistres et impies sornettes de ce genre. Aussi, dans un coup au visage, ne voyaient-ils rien autre que ce qu'il est en réalité, un petit préjudice physique, tandis que pour les modernes il est une catastrophe et un thème
Ils envisageaient, d'ailleurs, en bons Américains, ce cas étrange, sans marivaudage ni mysticisme; ils exhibaient leurs «tickets» et comparaient les chiffres. On opérait des échanges et des reventes, on ouvrait des paris, on concluait d'immoraux compromis visant la dot plus que la femme ou divisant l'une et l'autre. Du milieu de la rue jusque dans l'intérieur des tavernes, on négociait comme
Les Puritains, qui étaient ecclésiastiques, avaient été, pour la plupart, pendus séance tenante, après la bataille, mais il en était resté un petit nombre pour soutenir le courage de leur troupeau et lui montrer comment on marche au supplice. Jamais je ne vis rien d'aussi admirable que la fermeté calme et l'entrain avec lesquels ces pauvres paysans envisageaient leur destin.
Au 12, les préparatifs avaient pris des proportions gigantesques. De leur côté, les Napolitains, sur la côte opposée, prenaient leurs mesures, et l'escadre royale avait l'air, sinon l'intention, de vouloir faire bonne garde et empêcher tout débarquement. Elle se composait de six corvettes et de plusieurs petits avisos, ainsi que de quelques canonnières. Ce n'était pas sans une certaine appréhension que beaucoup, même des plus déterminés, parmi les officiers de l'armée méridionale, envisageaient les projets du Dictateur. Malgré la confiance sans bornes qu'on avait en lui et l'espèce de fascination qu'il exerçait sur ses troupes, plus d'un, en réfléchissant
Quand notre planete serait divisée en royaumes, comme la terre, continua-t-il, cela n'appuyerait pas le système de la guerre. Les monarques connaîtraient trop bien leurs intérêts, qui leur seraient rappelés par les peuples, s'ils ne les envisageaient point eux-mêmes, pour ne pas s'assurer que la guerre est toujours funeste au vainqueur; et ils verraient qu'en épuisant leurs peuples, et les fatiguant, ils finiraient par aliéner leur confiance, et par s'exposer
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