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Mis à jour: 24 mai 2025
Et Mèrionès bondit de nouveau comme un vautour, et arracha du bras blessé sa forte lance, et rentra dans les rangs de ses compagnons. Et Politès, frère de Dèiphobos, entourant celui-ci de ses bras, l'entraîna hors de la mêlée, derrière les rangs, où se tenaient ses chevaux rapides, et le char éclatant, et leur conducteur. Et ils le portèrent dans la ville, poussant des gémissements.
Et le grand Hektôr au casque mouvant lui répondit: Dèiphobos, certes, tu étais déj
Et il appelait ses fils avec menace, injuriant Hélénos et Pâris, et le divin Agathôn, et Pammôn, et Antiphôn, et le brave Politès, et Dèiphobos, et Hippothoos, et le divin Aganos. Et le vieillard, les appelant tous les neuf, leur commandait rudement: Hâtez-vous, misérables et infâmes enfants! Plût aux dieux que tous ensemble, au lieu de Hektôr, vous fussiez tombés devant les nefs rapides!
Il parla ainsi, excitant la force et la vaillance de chacun. Et le Priamide Dèiphobos, plein de fierté, marchait d'un pied léger au milieu d'eux, couvert de son bouclier d'une rondeur égale. Et Mèrionès lança contre lui sa pique étincelante, qui, ne s'égarant point, frappa le bouclier d'une rondeur égale et fait de peau de taureau; mais la longue lance y pénétra
Et il était assis au sommet de l'Olympos, sous les nuées d'or, retenu par la volonté de Zeus, ainsi que les autres dieux immortels, loin du combat. Et tous se ruèrent autour d'Askalaphos. Et comme Dèiphobos enlevait son casque brillant, Mèrionès, semblable au rapide Arès, bondit, et, de sa lance, perça le bras du Troien qui laissa échapper le casque sonore.
Et Dèiphobos, triste de la mort d'Asios, s'approchant d'Idoméneus, lui lança sa pique étincelante. Mais Idoméneus, l'ayant aperçue, évita la pique d'airain en se couvrant de son bouclier d'une rondeur égale fait de peaux de boeuf et d'airain brillant, et qu'il portait
Viens-tu m'annoncer quelque chose? Certes, pour moi, je n'ai pas le dessein de rester dans mes tentes, mais je désire le combat. Et le sage Mèrionès lui répondit: Idoméneus, prince des Krètois cuirassés, je viens afin de prendre une lance, si, dans tes tentes, il en reste une; car j'ai rompu la mienne sur le bouclier de l'orgueilleux Dèiphobos.
Il parla ainsi, et Dèiphobos délibéra s'il irait chercher pour soutien quelque autre des Troiens magnanimes, ou s'il combattrait seul. Et il vit qu'il valait mieux aller vers Ainéias. Et il le trouva debout aux derniers rangs, car il était irrité contre le divin Priamos qui ne l'honorait pas, bien qu'il fût brave entre tous les guerriers.
Et Dèiphobos, comme il se retirait lentement, toujours irrité contre lui, voulut le frapper de sa lance étincelante; mais il le manqua, et la lance perça Askalaphos, fils de Arès. Et la forte lance s'enfonça dans l'épaule, et le guerrier tomba, saisissant la terre avec ses mains. Et le terrible Arès plein de clameurs ignorait que son fils fût tombé mort dans la mêlée violente.
Il parla ainsi, et tous, avec une même ardeur, ils l'entourèrent, le bouclier sur l'épaule. Et Ainéias, de son côté, appela aussi ses compagnons, Dèiphobos, Pâris et le divin Agènôr, comme lui princes des Troiens. Et leurs troupes les suivaient, telles que des troupeaux de brebis qui suivent le bélier hors du pâturage, pour aller boire. Et le berger se réjouit dans son âme.
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