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Mis à jour: 14 juin 2025


Quelques semaines après, au bœr de Valli, ainsi s'appelait la ferme que Mord habitait dans la vallée de la Ranga, eut lieu la cérémonie de l'hyménée. On omettra d'en parler ici en détail, la chose n'important point au récit, et l'on gardera pour une autre occasion le tableau d'une de ces «mangeries» scandinaves, doublées de «buveries»

Après avoir franchi la porte du château, on entre dans une cour spacieuse, entourée aujourd'hui de constructions modernes qui ont été accolées aux courtines et tours. Ces constructions ont été élevées sur l'emplacement de portiques datant du XIIIe siècle et dont on retrouve toutes les amorces. Des traces d'incendie sont apparentes sur les parements des constructions du XIIe siècle, et font supposer que ces portiques ont remplacé des constructions de bois garnissant l'intérieur de la cour avant les restaurations entreprises par Louis IX et Philippe le Hardi. Du coté de l'est et du nord les murailles n'étaient doublées que par un simple portique. Du côté sud, s'élève un bâtiment dont toute la partie inférieure date du XIIe siècle et la partie supérieure de la fin du XIIIe avec remaniement au XVe. Ce bâtiment contenait,

Il était extraordinaire, sans doute; mais, comme Henri IV sur le pont Neuf ou le palmier de la Samaritaine, il n'étonnait plus. Ses limousines doublées de velours rouge semblaient quelque chose, je ne dis pas d'ordinaire, mais de nécessaire.

Au milieu de ce chaos, nous devions nous orienter et veiller au plus près: on se trouvait sur la route la plus fréquentée par les navires. La brise fraîchissant vers la tombée de la nuit, les vigies furent doublées. Une houle grosse et longue nous balançait au milieu du rideau de crêpe qui ne cessait de nous couvrir; et toujours facétieux, Agénor Gravel, qui se souciait fort peu des collisions, profita de l'occasion pour donner du courage

Lorsque je lis ces lignes si pleines de volonté et d'énergie, je sens que ton être tout entier vibre avec moi; ton activité morale entretient mes forces et il me semble qu'elles sont doublées par la puissance de ta volonté... Paris, 19 décembre 1895.

Ce soir, en revenant du Devin du Village, j'ai ouvert machinalement un volume de l'emphatique Rousseau. C'étaient ses écrits sur la musique. J'ai été frappé; tout ce qu'il dit en 1765 est encore brillant de jeunesse et de vérité en 1823. L'orchestre français, qui se croit toujours le premier orchestre du monde, ne peut pas plus exécuter un crescendo de Rossini aujourd'hui qu'alors. Fidèle aux oreilles doublées de parchemin de nos braves aïeux, il meurt toujours de peur de commencer trop doucement, et méprise les nuances comme des preuves de manque de vigueur. Le physique du talent a changé: nul doute que nos violinistes, nos violoncelles, nos contre-basses n'exécutent aujourd'hui des choses impossibles en 1765; mais la partie morale du talent, si je puis m'exprimer ainsi, est toujours la même. C'est comme un homme sans fortune qui fait un héritage immense d'un parent mort dans les Indes; ses moyens d'action et d'influence ont changé, mais son caractère est resté le même; bien plus, enhardi par son opulence nouvelle, ce caractère n'éclatera que d'une manière plus effrontée. Nos symphonistes ont hérité, eux, du talent de la main. Rossini va passer

Il avait faim quand même, ce robuste. On le servit sous une vérandah aux parois vitrées, doublées de feuillage et donnant de face sur ce grand porche du Palais de l'Industrie, le duc, en présence de mille personnes, l'avait salué député. Le visage fin et aristocratique lui apparut en souvenir sous la nuit de la voûte, tandis qu'il le voyait aussi l

"On rapporta des ancres d'une grosseur surprenante, des canons, des boulets, des chaînes de fer, des habits fort étoffés, des couvertures, des selles de chevaux magnifiques, des épées d'argent, des tentes bien doublées, des fusils en abondance, de la vaisselle, des ferrures de toutes sortes, des cloches, des agrès de vaisseaux et une infinité d'autres choses." On en vendit pour 5000 livres.

Le bal commença. Les danses d'alors «Vénus et Zeus», la «Cruelle Destinée», le «Cupidon», se distinguaient par leur lenteur, car les robes des dames, longues et lourdes, ne permettaient pas des mouvements vifs. Les dames et les cavaliers se rencontraient et se séparaient avec une importance emphatique, des saluts exagérés et des sourires exquis. Les femmes devaient marcher comme des paons, glisser comme des cygnes, afin, selon l'expression d'un poète «que leurs pieds mignons s'agitassent doucement, doucement». Et la musique aussi était douce, tendre, presque mélancolique, pleine de langueur passionnée, comme les chants de Pétrarque. Le principal officier de Ludovic le More, le jeune seigneur Galeazzo Sanseverino, élégant raffiné, tout de blanc vêtu, avec des manches rejetées, doublées de satin rose, des diamants

«C’est d’après cette méthode qu’il faut poser les moises et toutes pièces doubles. Ici, par exemple (fig. 18), vous voyez que l’on a placé avec raison une paire de moises en mettant les sciages en dehors pour remplacer un entrait pourri. Nous appelons moises des pièces de bois qui, doublées habituellement, pincent deux ou plusieurs membres d’une charpente. Ces moises A saisissent au moyen d’entailles

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