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Mis à jour: 5 juillet 2025


Les guerriers apportent les armes et l'attirail militaire devant leur Mars-Apollon, auquel ils offrent un poulet au riz arrosé d'arrak, joli petit ordinaire que le dieu consomme; après quoi le djanni l'apostrophe: «O dieu! nous avons tardé

Le lendemain, les laboureurs se rangent devant les grains mis en tas, et, dans le monceau chacun plonge le fer de sa charrue, afin de lui communiquer des vertus prolifiques. S'annonce alors par de bruyants claquements de fouet un djanni, appelé Pot Radj, du même nom que le Faune qu'il est censé représenter. Il apporte un chevreau, la «victime de l'araire», hari mériah, l'égorge en un tour de main, mélange sa chair avec celle du taureau tué la veille, met cette viande dans un panier. Du milieu des laboureurs surgit alors un homme nu, qui saute sur la corbeille, s'en empare et s'esquive. La foule se précipite après. A grandes enjambées et avec de bruyantes vociférations on fait le tour du village, tandis que le coureur jette

Au djanni appartient de propitier les quatorze patrons nationaux et les onze divinités locales, sans oublier les dryades, les nymphes des rivières et des fontaines, les faunes et sylvains. Il en est qui vivent sur terre, d'autres en dessous; ces derniers sortent par les fissures du sol, pour se montrer

Le djanni apporte du riz, y fiche une flèche prise au sanctuaire d'Apollon Loha. La flèche reste droite? Que la guerre suive son cours! La flèche s'incline et tombe? Que la paix soit conclue! Cependant les belligérants demandent un nouveau signe. Pourquoi pas? Le prêtre convoque tout le monde devant l'autel, invoque le dieu: «O Loha! tu avais décidé la guerre. Pourquoi? Nous l'ignorons.

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