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Mis à jour: 17 juin 2025
Juin 1855. Tu graves au fronton sévère de ton oeuvre Un nom proscrit que mord en sifflant la couleuvre; Au malheur, dont le flanc saigne et dont l'oeil sourit, A la proscription, et non pas au proscrit, Car le proscrit n'est rien que de l'ombre, moins noire Que l'autre ombre qu'on nomme éclat, bonheur, victoire; A l'exil pâle et nu, cloué sur des débris, Tu donnes ton grand drame où vit le grand Paris, Cette cité de feu, de nuit, d'airain, de verre, Et tu fais saluer par Rome le Calvaire. Sois loué, doux penseur, toi qui prends dans ta main Le passé, l'avenir, tout le progrès humain, La lumière, l'histoire, et la ville, et la France, Tous les dictâmes saints qui calment la souffrance, Raison, justice, espoir, vertu, foi, vérité, Le parfum poésie et le vin liberté, Et qui sur le vaincu, coeur meurtri, noir fantôme, Te penches, et répands l'idéal comme un baume! Paul, il me semble, grâce
Vers ce grand ciel clément où sont tous les dictames, Les aimés, les absents, les êtres purs et doux, Les baisers des esprits et les regards des âmes, Quand nous en irons-nous? quand nous en irons-nous? Quand nous en irons-nous où sont l'aube et la foudre? Quand verrons-nous, déj
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