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Mis à jour: 26 juin 2025
L'abbé Gabriel! s'écrièrent les jeunes filles en échangeant un regard de surprise et de joie. Vous le connaissez? demanda la dévote en feignant la surprise. Si nous le connaissons, madame... Il nous a sauvé la vie... Lors du naufrage où nous périssions sans son secours.
Quand il revint de Caen, tout son individu était comme ses yeux: brillant et tranchant. Il portait moustache, s'il vous plaît, et ses cheveux bouclés tombaient sur ses épaules. Il y avait encore des romantiques en Normandie. Il fut chez nous l'élégant des élégants. Mme Barnod, la mère de la petite Olympe, était une très jolie femme, sévère, dévote, mais qui aimait bien les beaux gars.
Rohan, évêque de Strasbourg, avait sous la main en Alsace la famille du roi sans royaume, Stanislas, retiré chez nous. On fit valoir sa fille, fille dévote d'un père si dévot que, par plaisir, dit-on, il faisait ses dévotions en robe, en bonnet de Jésuite. Cela n'attira pas, ce semble, les célestes bénédictions. Sur la route, la pauvre princesse reçut un déluge de pluie comme on n'en vit jamais.
Le sultan n'avait éprouvé que trois fois son anneau; cependant on débita dans un cercle de dames qui avaient le tabouret chez la Manimonbanda, le discours du bijou d'une présidente puis celui d'une marquise: ensuite on révéla les pieux secrets d'une dévote; enfin ceux de bien des femmes qui n'étaient pas l
«Elle avait une robe de satin couleur de rose, avec des parures violettes; une simarre de velours bleu, garnie de crêpe; un noeud de diamants, d'où pendait une riche dévote, dans un temps où l'on n'en portait plus; une girandole de très-beaux brillants
Je ne me fâchai même pas d'une semblable supposition; j'en haussai les épaules. Le lendemain, ma tante arriva. Je ne l'avais jamais vue. C'est une grande fille sèche, dévote et prude; elle n'a jamais dû être jolie, et par conséquent n'a jamais été jeune. Son père, ne pouvant pas la marier, en fit une chanoinesse.
Une seule personne malveillante, une femme très-parée, éleva un peu le ton pour dire: «Laissez donc! elle aime le succès, elle est femme! Non, reprit mon Anglais dilettante, elle est artiste avant tout; elle n'est peut-être pas dévote!»
Telle n'était point la Reine. Elle ne fut d'aucun des deux mondes, ni philosophe, ni dévote. Elle n'eut de religion que la famille. Malgré sa servitude passionnée de la Polignac qui semblait l'écarter de Vienne, il suffisait d'un mot de sa mère, de son frère, pour réveiller en elle le fond du fonds, l'intérêt autrichien.
Et il conta la crainte de l'accident, sa terreur, et de quelle façon tranquille Mère-Grand les avait tous sauvés d'une mort certaine. Elle eut un petit geste, comme pour dire que tourner un robinet n'était pas si héroïque. Mais des larmes étaient montées aux yeux des trois grands garçons, et ils vinrent l'embrasser l'un après l'autre, avec une ferveur dévote, mettant dans cette caresse la reconnaissance, le culte qu'ils avaient pour elle. Depuis leur petite enfance, elle leur avait tout donné, et elle leur donnait encore la vie. Marie
Madame Bonaparte était une véritable femme de l'ancien régime, dévote, superstitieuse, et même royaliste, détestant ce qu'elle appelait les Jacobins, lesquels le lui rendaient bien; ne recherchant que les gens d'autrefois, qui, rentrés en foule, comme nous l'avons dit, venaient la visiter le matin. Ils l'avaient connue femme d'un homme honorable, et assez élevé en rang et en dignité militaire, l'infortuné Beauharnais, mort sur l'échafaud révolutionnaire; ils la trouvaient l'épouse d'un parvenu, mais d'un parvenu plus puissant qu'aucun prince de l'Europe; ils ne craignaient pas de venir lui demander des faveurs, tout en affectant de la dédaigner. Elle mettait de l'empressement
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