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Mis à jour: 8 mai 2025
Une fois dans ma chambre, je me passai immédiatement un peu d'eau sur le visage, me déshabillai, après avoir fermé ma porte
En revenant au Pavol je me disais: «Ce n'est pas vrai, je suis sûre que ce n'est pas vrai! Pourquoi tant me troubler?» Mais je me déshabillai en pleurant, avec l'idée qu'un immense malheur allait fondre sur moi.
Il faisait nuit depuis longtemps que j'étais toujours assis près de la fenêtre, me demandant s'il ne viendrait plus personne. Quand j'en eus perdu l'espérance, je me déshabillai et me couchai, puis je commençai
Je déshabillai ma déesse comme une nouvelle-mariée, baisant tout ce que je découvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur mon vit. Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnée. Ami lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plus savoureuse volupté, en me rappelant ces moments enchanteurs, que m'a procurés ma Conquette-Ingénue-L !
Hier des Arméniens menèrent au sérail une jeune esclave de Circassie, qu'ils vouloient vendre. Je la fis entrer dans les appartements secrets, je la déshabillai, je l'examinai avec les regards d'un juge; et plus je l'examinai, plus je lui trouvai de grâces. Une pudeur virginale sembloit vouloir les dérober
Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariée, baisant tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur mon vit: XVIII Chapitre. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. Ami Lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plüs savoureuse volupté, en me rappelant ces momens enchanteurs, que m'a procurés ma Conquette-Ingenue-L !
Dès le lendemain, la supérieure vint dans ma cellule avec une religieuse qui portait sur son bras un cilice et cette robe d'étoffe grossière dont on m'avait revêtue lorsque je fus conduite dans le cachot. J'entendis ce que cela signifiait; je me déshabillai, ou plutôt on m'arracha mon voile, on me dépouilla; et je pris cette robe. J'avais la tête nue, les pieds nus, mes longs cheveux tombaient sur mes épaules; et tout mon vêtement se réduisait
Quand je rentrai, Marguerite était étendue devant le feu, et ses dents claquaient de froid. Je la pris dans mes bras, je la déshabillai sans qu'elle fît un mouvement, et je la portai toute glacée dans mon lit. Alors je m'assis auprès d'elle et j'essayai de la réchauffer sous mes caresses. Elle ne me disait pas une parole, mais elle me souriait.
Les scènes de flagellation dans le livre de Sade m'avaient rendue curieuse de connaître la volupté que l'on pouvait ressentir en se battant le derrière. Une fois, je pris une fine baguette de saule, je me déshabillai et me mis devant le miroir pour essayer. Le premier coup me fit si mal que je cessai immédiatement.
Je me deshabillai, je m'étendis presque nue sur un divan.... oh! j'ai honte!.... Je m'allongeais, j'écartais mes cuisses, je m'agitais en tous les sens. A mon insu, je formais les postures les plus indécentes. L'étoffe du divan était glacée. Sa fraîcheur me causa une sensation agréable, un frôlement voluptueux par tout le corps.
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