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Mis à jour: 4 juin 2025


Cette superstition de seconde ouïe (car je n'ai jamais rencontre une véritable seconde vue dans l'Orient) fut une fois l'objet de mon observation. Dans mon troisième voyage au cap Colonna, au commencement de 1811, comme nous traversions le défilé qui commence au hameau entre Kératié et Colonna, je remarquai que Dervish Tahiri pressait son cheval pour sortir de ce passage, et penchait sa tête sur sa main comme un homme inquiet. Je le joignis au galop et le questionnai. «Nous sommés en péril, me répondit-il. Quel péril? Nous ne sommes pas maintenant en Albanie, ni dans les défilés d'Ephèse, de Missolonghi ou de Lépante; nous sommes en nombre, bien armés, et les Choriates n'ont pas le courage d'être voleurs. C'est vrai, Effendi; mais néanmoins le coup de feu résonne

[Note 13: Les dernières nouvelles qui me sont parvenues de Dervish (un des Arnautes qui m'avaient suivi) m'ont appris qu'il s'était insurgé dans les montagnes,

Je rapporterai encore un trait de cette race singulière. En mars 1811, un Arnaute, remarquable par sa vigueur et son activité (il était, je crois, le cinquième dans la même disposition), vint s'offrira moi pour domestique. L'ayant refusé: «Bien, Effendi, me dit-il, puissiez-vous vivre! vous m'auriez trouvé utile. Demain je quitterai la ville pour les montagnes; je reviendrai en hiver, peut-être alors me recevrez-vousDervish, qui était présent, remarqua, comme une chose naturelle et sans conséquence, que, dans cet intervalle, il allait joindre les klephtes (voleurs), ce qui était vrai

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