Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 16 mai 2025


Le dernier-né, le Benjamin de notre empire colonial, a été tout de suite, de la part du public français, l'objet d'une faveur que ses aînés ont mis longtemps

Ils défendaient l'honneur et le droit, ces chimères. Venez, reconnaissez vos enfants, venez, mères! Car, pour qui l'allaita, l'homme est toujours l'enfant. Tenez; ce front hagard, qu'une balle ouvre et fend, C'est l'humble tête blonde jadis, pauvre femme, Tu voyais rayonner l'aurore et poindre l'âme; Ces lèvres, dont l'écume a souillé le gazon, O nourrice, après toi bégayaient ta chanson; Cette main froide, auprès de ces paupières closes, Fit jaillir ton lait sous ses petits doigts roses; Voici le premier-né, voici le dernier-né. O d'espérance éteinte amas infortuné! Pleurs profonds! ils vivaient; ils réclamaient leur Tibre; Être jeune n'est pas complet sans être libre; Ils voulaient voir leur aigle immense s'envoler; Ils voulaient affranchir, réparer, consoler; Chacun portait en soi, pieuse idolâtrie, Le total des affronts soufferts par la patrie, Ils savaient tout compter, tout, hors les ennemis. Hélas! vous voil

Les jeunes hommes venaient d'abord, puis les femmes avec leurs enfants, puis les jeunes filles et enfin les vieillards. Quelques mères allaitaient encore leur dernier-né. Combien d'aïeules, s'appuyant sur des béquilles et comptant sur un renouveau, sur une mystérieuse jouvence, devaient s'éteindre en route, et, cousues dans un sac lesté de sable, basculées sur une planche, se verraient destinées

Georges Cadoudal était le plus jeune des nombreux fils d'un meunier du Morbihan; mais comme un usage fort bizarre, établi dans une partie de la basse Bretagne, donnait tous les biens au dernier-né de chaque famille, Georges, dont le père était aisé, avait reçu une certaine éducation.

Mot du Jour

délayez

D'autres à la Recherche