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Mis à jour: 26 juin 2025
Cet effroi bête et inexplicable grandissait toujours et devenait de la terreur. Je demeurais immobile, les yeux ouverts, l'oreille tendue et attendant. Quoi? Je n'en savais rien, mais ce devait être terrible. Je crois que si un poisson se fût avisé de sauter hors de l'eau, comme cela arrive souvent, il n'en aurait pas fallu davantage pour me faire tomber raide, sans connaissance.
Je demeurais
Tandis que je demeurais
Oui, réellement, je crois que mon père m'implorait et je demeurais impassible en apparence, tandis que j'aurais dû l'arrêter avec un cri où tout mon être se fût jeté. Je n'étais pas impassible cependant. Il y avait dans le son de sa voix trop de pathétique pour que ma sensibilité, éveillée de bonne heure, n'en fût pas toute secouée. Mais, par une contradiction singulière, ce que cette voix remuait en moi, c'était précisément le désir, tous les désirs qu'elle voulait chasser. Elle chantait les pierres de la maison bâtie pour triompher du temps, l'abri du toit, l'union de la famille, la force de la race qui se maintient sur le sol, la paix des morts que Dieu garde. Et tandis que vibrait ce cantique, j'en entendais très distinctement un autre que, pour moi seul, composaient la musique du vent vagabond, l'immensité des espaces inconnus, la parole du pâtre qui s'en allait
«Lorsque j'eus fait tous mes exercices et que le roi mon père m'eut donné une liberté honnête, j'allais régulièrement chaque année voir le roi mon oncle, et je demeurais
Assez, Saint-Luc, assez, dit le roi en se levant. Tu te perds et tu me perdrais avec toi si je demeurais plus longtemps ici. Adieu, Saint-Luc, j'espère que le ciel t'enverra, au lieu de ce rêve tentateur, quelque rêve salutaire qui t'amènera
Lorsque j'eus fait tous mes exercices et que le roi mon père m'eut donné une liberté honnête, j'allais régulièrement chaque année voir le roi mon oncle et je demeurais
Pendant que je demeurais
Isabelle secoua mélancoliquement sa tête blonde. Il n'y a pas, il n'y a jamais eu de vacances pour moi, Monsieur. Etant enfant, je demeurais toute l'année
Ici Juliette termina son récit, et resta accablée de fatigue et de tristesse. C'est alors, ma pauvre enfant, lui dis-je, que je fis connaissance avec toi. Je demeurais dans la même maison. Le récit de ta chute m'inspira de la curiosité. Bientôt j'appris que tu étais jeune et digne d'un intérêt sérieux; que Leoni, après t'avoir accablée des plus mauvais traitements, t'avait enfin abandonnée mourante et dans la misère. Je voulus te voir; tu étais dans le délire quand j'approchai de ton lit. Oh! que tu étais belle, Juliette, avec tes épaules nues, tes cheveux épars, tes lèvres brûlées du feu de la fièvre, et ton visage animé par l'énergie de la souffrance! Que tu me semblas belle encore, lorsque, abattue par la fatigue, tu retombas sur ton oreiller, pâle et penchée comme une rose blanche qui s'effeuille
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