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Mis à jour: 29 juin 2025
Ce qu'elle est devenue? Elle a rendu aux beaux-arts plus de services que tous nos ministres ne lui en ont rendu depuis vingt ans. Elle a parsemé nos temples de belles saintes que Luther eût adorées; elle a peuplé nos boudoirs d'images gracieuses, de ces têtes qu'une jeune femme enceinte regarde avec tant d'espoir... elle a donné son beau visage et ses belles mains aux tableaux d'histoire. Sa bienveillante influence s'est fait sentir dans l'atelier de nos plus grands peintres: Eugène Delacroix, Ary Scheffer, Paul Delaroche, se glorifiaient de Jenny. Jenny dédaignait l'art médiocre; elle s'enfuyait
De Delacroix, une fière esquisse de lui-même, et son DANTE ET VIRGILE, avec l'admirable torse du damné verdâtre, flottant sur les ondes noires.
Une parenté dans la construction de la tête de Chateaubriand et de Lamartine, tels que nous font voir les deux écrivains, les deux peintres Guérin et Decaisne. Un curieux portrait que celui de Proudhon, se promenant au bord de la mer, par Tassaert. C'est le peintre qui a été le dernier continuateur de la couleur anglaise, importée par Delacroix, dans le MASSACRE DE SCIO.
Peu après l'exposition du Radeau de la Méduse, de Géricault, on avait vu surgir du sein de la tourbe romantique trois hommes de talent pleins d'idées et d'imagination: MM. Scheffer, E. Delacroix et P. Delaroche. Le premier, que l'origine de sa famille, la tournure de son esprit et de son talent rattachent aux idées et aux goûts des nations septentrionales, devint l'artiste de prédilection de la jeune école française, qui,
Il est venu au moment opportun pour endiguer le romantisme débordé. Il a ramené vers l'observation la sincérité, la réalité; réveillé l'amour de la nature, y compris ses vulgarités, par opposition aux excès inventifs des fougueux cavaliers d'idéal de 1830; ainsi que Delacroix avait débridé toutes les extravagances de la ligne et de la couleur, en haine des froides conventions de l'école de David.
Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois de sapin toujours vert, Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges Passent, comme un soupir étouffé de Weber; Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes, Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum, Sont un écho redit par mille labyrinthes; C'est pour les coeurs mortels un divin opium.
Je saisis avec plaisir l'occasion que vous m'offrez de vous encourager dans un travail dont M. Eugène Delacroix est l'objet, puisque vous partagez l'admiration et l'affection qu'il inspire
Personne n'a senti comme Delacroix le type douloureux de Hamlet. Personne n'a encadré dans une lumière plus poétique, et posé dans une attitude plus réelle, ce héros de la souffrance, de l'indignation, du doute et de l'ironie, qui fut pourtant, avant ses extases, le miroir de la mode et le moule de la forme, c'est-
A propos de cette triste habitation, une jolie histoire. Le voisin de Delacroix, un ancien marchand de vin, avait un mur qui gênait la vue du peintre. Delacroix lui proposait pour l'abattis de ce mur, un grosse somme qu'il refusait, puis enfin son portrait et celui de sa femme, qu'il refusait encore. Mais
C'était l'époque glorieuse, l'apogée triomphante de Lamartine, d'Hugo, de Musset, d'Eugène Delacroix, de Lamennais, de Lacordaire, d'Hérold, d'Auber, d'Halévy, etc. On croyait voir l'aurore d'une grande rénovation artistique, illuminant les merveilles d'une vaste réforme politique et sociale.
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