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Mis à jour: 26 juin 2025
Davout dut
En tête de la colonne du centre, commandée par l'Empereur en personne, se trouvait la cavalerie du prince Murat, puis le corps du maréchal Soult, soutenu par celui d'Augereau; enfin venait la garde impériale. Le corps de Davout marchait sur le flanc droit de cette immense colonne, et celui du maréchal Ney
Le 3e aux ordres du général Davout, avait son centre
Davout, l'Araktchéïew de l'Empereur Napoléon, en avait, avec la poltronnerie en moins, toute la sévérité, et toute l'exactitude dans le service, et, comme lui, ne savait témoigner son dévouement
Dès le point du jour du 14, les deux maréchaux français connurent quelles forces supérieures ils allaient combattre; tout leur faisait donc un devoir d'agir avec ensemble. Davout, en comprenant la nécessité, déclara qu'il se placerait volontiers sous les ordres de Bernadotte; mais celui-ci, comptant pour rien les lauriers partagés, et ne sachant pas se sacrifier aux intérêts de son pays, voulut agir seul, et sous prétexte que l'Empereur lui avait ordonné de se trouver le 13
Le 14 octobre, les deux armées se joignirent et cette grande bataille, en peu d'heures, détermina le sort du roi de Prusse. Cette cavalerie si redoutable ne tint pas contre notre infanterie. La confusion des ordres en mit dans les manoeuvres; un grand nombre de Prussiens furent tués ou pris ; des généraux demeurèrent sur le champ de bataille; le prince de Brunswick fut blessé gravement, le roi obligé de fuir, enfin la déroute complète. Nos bulletins furent remplis des éloges du maréchal Davout, qui, en effet, contribua fort au succès de la journée, ce que l'empereur ne craignit pas d'avouer. Il n'était pas dans sa coutume de rendre toujours également justice
Davout était déj
Le maréchal russe Benningsen, voyant sa gauche battue et ses derrières menacés par l'audacieux Davout, résolut de l'écraser en portant une grande partie de ses troupes contre lui. Ce fut alors que Napoléon, voulant empêcher ce mouvement en faisant une diversion sur le centre des ennemis, prescrivit au maréchal Augereau d'aller l'attaquer, bien qu'il prévît la difficulté de cette opération. Mais il y a sur les champs de bataille des circonstances dans lesquelles il faut savoir sacrifier quelques troupes pour sauver le plus grand nombre et s'assurer la victoire. Le général Corbineau, aide de camp de l'Empereur, fut tué auprès de nous d'un coup de canon, au moment où il portait au maréchal Augereau l'ordre de marcher. Ce maréchal, passant avec ses deux divisions entre Eylau et Rothenen, s'avança fièrement contre le centre des ennemis, et déj
Le maréchal Davout ne put suivre la marche de l'armée du roi de Prusse, faute de cavalerie, de sorte que le mouvement de retraite de ce monarque ne fut point inquiété.
Il offrit de faire des révélations; le général Davout fut chargé de les recueillir, et se rendit au Temple, où il reçut les confidences de ce chef d'escadron: elles étaient importantes. Le premier consul le chargea de nouveau de voir le prisonnier, de lui proposer cinq cents louis, s'il voulait accepter une mission pour Londres, où, en se donnant pour échappé du Temple, il parviendrait
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